C’est bien beau le suamon, mais quand on vit sur l’Équateur ca se trouve pas et pourtant on a développé un projet similaire.
Donc ici en Équateur, grace a l’appui d’une argentine qui vit au brésil (Ramona Esther Nuñez) et le boulot de mon agence de consulting en RSE (Seproyco) on a développé un atelier d’appui aux familles d’enfants hanficapés sur la cóte (Puerto López).
On recycle les peaux de poissons tropicaux pour en faire des bijoux, de objets déco ou meme des sandales.
Le projet est appuyé et develloppé avec la vice présidence de l’Équateur. Le vice président, pour son travail en faveur des personnes en situation de handicap (Mision Manueal Espejo) était en lice cette année pour le prix nobel de la paix.
Le projet s’appelle "pescado cero residuos" et sinon sur facebook vous pouvez chercher la page de Seproyco pour voir les photos de l’inauguration (début décembre 2012).
une tres grosse bise depuis l’Équateur ! le pays est petit mais aux ressources casi inifinies
Pourquoi amener ça dans des magasins de luxe outre-mer ?
Au pire, dans les magasins de luxe du pays même, si vous y tenez. Mais pourquoi ne pas faire de ces produits au matériel solide et résistant au temps un bien à revendre aux populations locales à des prix moins chers (vu que produit localement, il n’y a pas tous les frais de transports) que les babouches en plastique ou chaussures bon marché, souvent importés, qu’il faut racheter tous les X mois ?
La réponse est simple, ces produits se vendent au Chili depuis bien longtemps, seulement ce type de reportages veulent faire croire que seuls les occidentaux consomment. D’ailleurs les entreprises qui commercialisent au Chili des produits en cuir de saumon sont nombreuses.
Un saumon bien cuir, s’il vous plaît