Un minimum d’eau vitale, des transports en libre accès ou des semences sans brevets, trois exemples de domaines où l’argent ne devrait pas être le maître-mot.
L’eau et les semences font parties du patrimoine commun. Si l’on met en place des mécanismes qui évitent le gaspillage, comme à Viry-Châtillon, pas de problème.
Pour les transports, il y a confusion. (Presque) Tout le monde peut mettre un pied devant l’autre et se mouvoir gratuitement.
Par contre, si on utilise des "services extérieurs" qui plus est, émetteur de CO2 (ici des transports en commun), il y a toujours quelqu’un qui paye "in fine".
Déjà dans l’antiquité, on pouvait voyager "gratuitement", les esclaves étaient là pour cela !
Eau, transports, semences : la gratuité, c’est maintenant !