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Énergie

Gaz de schiste : les pays qui l’exploitent et ceux qui s’y refusent

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Qui a dit « oui », qui a dit « non » ? Un tour du monde de l’exploitation de ces gaz non conventionnels dans le monde.

8 commentaires
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  • Total, compagnie française, se moque bien des interdictions locales françaises. En effet les pays les moins regardants lui permettent d’appliquer son savoir-faire, indéniable, à l’exploitation du pétrole, du gaz, en offshoreou non, ou par fracturation hydraulique.....Total n’est pas seule à l’affut de ces pays en mal de devises. Une compagnie canadienne envisage de forer à 4000 mètres dans le nord du Portugal oú des gisements existent probablement. Je crains donc que le Portugal ne voie aucun inconvénient à l’exploitation des gaz de schistes. Je sors du sujet, mais actualité oblige... : tant que les dirigeants portugais feront le jeu des grands intérêts économiques, ressources et financements seront dilapidés, au détriment de la population, de l’environnement et du développement durable.

    17.09 à 17h19 - Répondre - Alerter
    • cf les "vertueux" allemands qui produisent en Europe de l’Est
      qui iront chercher du gaz de schiste en Pologne et du nucléaire en Tchéquie et en Pologne

      18.09 à 11h04 - Répondre - Alerter
      • Mais bien sûr, les allemands vont construire des centrales nucléaires dans les pays voisins... Ils soutiennent l’EPR, et les radionucléides en cas de catastrophe s’arrêtent à la frontière. Les français le savent bien ! C’est aussi bien connu que ce sont les français qui fournissent l’électricité nucléaire à l’Allemagne puisque ceux-ci ont fermé 8 centrales à la suite de la multi-catastrophe de Fukushima !
        Encore un qui raconte de véritables conneries, étayées par une ignorance crasse !
        Quant aux gaz de schiste, il me semble bien qu’ils pensent que la fracturation hydraulique ne présente aucun danger...
        Vous puisez vos information à l’Union des Profiteurs de Mauvaise Foi par hasard ?

        31.12 à 02h16 - Répondre - Alerter
        • * Dire qu’il a plus de 122 produits, dont la liste n’a toujours pas été dévoilé, et que les industriels tentent de faire passer pour aussi bénins qu’un produit de shampoing...

          * Risques sismiques avéré, aucune études n’a été encore publiée concernant la finalité des troues de gruyère laisser dans les cavités terrestres...

          * Contamination des nappes phréatique et risque de destructions de réserves de minerai et métaux précieux, sans parler des squelettes de dinosaures, mais bon quand on entends certains dire que les lézards ne sont plus en voie de disparition...

          * Petit vidéo plus éloquente :
          3w.youtube.com/watch ?v=1t4t5akJXLc

          25.02 à 09h45 - Répondre - Alerter
  • Les pays qui peuvent exploiter raisonnablement les gaz de schistes sont les pays à faible densité de population (ex Etats Unis, Sud Algérien etc)
    car même si les ressources disponibles sont considérables, les puits perdent 90% de leur production dès la première année (!) ce qui impose de forer ... forer ... partout. D’où impact sur les paysages et potentiellement les risques de pollution.

    18.09 à 10h58 - Répondre - Alerter
  • Les pays qui s’y refusent aujourd’hui seront probablement ceux qui l’accueilleront à bras ouverts demain... L’extraction exothermique, qui présente une alternative crédible à la fracturation hydraulique, pourrait rapidement convaincre les plus réticents puisque celle-ci est dite "propre". Voir article ---> http://tinyurl.com/8f23j4z
    Je pense que, malheureusement, nos dirigeants seront toujours plus sensibles aux chimères de l’indépendance énergétique qu’à des considérations écologiques qui ne touchent finalement que certaines régions. L’économique et le politique ont de beaux jours devant eux... et si l’on pensait à notre environnement pour une fois ? http://tinyurl.com/9em2yz3

    18.09 à 14h13 - Répondre - Alerter
  • Un seul (et unique) remède : remettre en cause, une bonne fois pour doute, le dogme de la "croissance".
    Consommer moins pour consommer mieux. C un des nombreux enjeux de la transition énergétique. Mais je doute que l’ensemble de la classe politique dirigeante l’ai compris dans ce sens. On peut au moins se féliciter qu’en France, le gaz de schiste n’est pour l’instant pas le bienvenu (sauf en version GNL importé depuis les USA...). Reste le nucléaire...

    Qu’on se le dise, la transition énergétique ne consiste pas à remplacer bêtement les énergies fossiles et fissiles par des renouvelables.
    1. économiquement parlant, c’est tout simplement impossible
    2. la sobriété et l’efficacité seront bien plus intéressante dans un grand nb de situations que la prod d’énergie renouvelable.
    NON aux gaz de Schiste. OUI au XXIème siècle !

    19.09 à 22h22 - Répondre - Alerter
  • Le comparatif hydrique entre les filières gaz de schiste et biocarburants est particulièrement instructif. Ce sont 60000 litres d’eau douce qui sont consommés en moyenne pour obtenir un million de BTU de bioéthanol de maïs. Et 168 000 litres avec le Biodiesel de soja. Ce qui est respectivement 5000 et 14000 fois supérieur aux 12 litres d’eau douce nécessaires pour le gaz de schiste.

    Des techniques qui évoluent

    Les entreprises nord-américaines mettent au point de nouvelles techniques pour extraire de gaz naturel de schiste. Une entreprise canadienne, GasFrac Energy, a par exemple remplacé l’eau douce injectée pour le fracking par du propane liquide. GasFrac Energy et eCorp ont reçu l’autorisation de recourir à cette technologie pour extraire le gaz de schiste dans l’état de New York.

    Il sera peut-être possible dans le futur d’utiliser du diazote (N2, qui est le constituant principal de l’air à hauteur de 80%) ou du dioxyde de carbone (CO2) à la place de l’eau, des chercheurs travaillent sur cette approche de dry fracking. Notamment pour extraire le gaz de schiste dans les secteurs où l’eau douce est difficilement disponible, ou qui sont trop peuplés pour que soient acceptés les va-et-vient des camions-citernes sur les routes.

    NIMBY

    La France serait riche d’un gisement de 5000 milliards de mètres cubes de gaz naturel de schiste selon une étude préliminaire du Département Américain à l’Energie.

    Dans un pays qui importe 98% du gaz naturel qu’il consomme (provenant de Norvège, des Pays-Bas, de Russie et d’Algérie) ainsi que la totalité du pétrole (provenant principalement de mer du Nord, de l’ex-URSS, de Lybie et d’Arabie Saoudite), et où plus de 75% de l’électricité provient du nucléaire (uranium importé principalement du Niger, du Kazakhstan et du Canada), est-il vraiment pertinent d’utiliser le critère « consommation en eau douce » pour s’opposer aux projets d’exploitation du gaz de schiste ?
    Ce qui est certain, c’est que les réflexes NIMBY (Not In My Backyard, pas dans mon jardin) s’inscrivent rarement dans une perspective d’intérêt général.

    20.09 à 15h30 - Répondre - Alerter
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