Ben Walter, que dire alors que tout est analysé ? A part, ne plus laisser les goinfres s’occuper de notre destin ? Comme si la Terre va continuer à se laisser souiller impunément !
Il est clair que l’espèce humaine n’émigrera pas sur Mars, ni sur toute autre planète d’ailleurs (distances, habitabilité,...), et quand bien même y parviendrions nous, à moins d’avoir empêché "ici bas" la catastrophe écologique, nous ne ferions que la reproduire ailleurs...
Que ce soit pour la Terre, ou pour notre modeste pays, la question fondamentale est celle des effectifs : comme ne cesse de le répéter Démographie Responsable, on ne peut croître indéfiniment dans un monde fini.
Bien sûr, nous n’émigrerons jamais sur Mars ni ailleurs. Comme le dit Manso les conditions physiques d’accès et de vie sont absolument hors de portée de tous nos moyens techniques. Le seraient-ils d’ailleurs que cela ne serait pas une solution car nous reproduirions les mêmes problèmes. La surpopulation elle-même n’y trouverait aucune solution. Par exemple Mars qui possède une surface d’environ le quart de celle de la Terre serait peuplée avec une densité équivalente à celle de notre planète en 20 ans seulement si la Terre devait y exporter ses seuls exédents de population (avec 1,2 % de croissance par an nous gagnons 25 % soit 1/4 de population en 20 ans à peu près).
Gardons l’exploration de Mars pour la science et le bonheur de comprendre et de découvrir, mais n’envisageons rien là-bas, ni ailleurs. Dans les 100 ans qui viennent l’équilibre écologique de notre planète est menacé d’être réduit néant (et cela a déja bien commencé). Il y a urgence de ce côté et bien évidemment il faut commencer par réduire notre fécondité car sur une planète surpeuplé tous nos autres efforts seront réduits à néant
Une planète sans limite... pour notre imagination