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Société

« Dans les temps de crise, on est amenés à inventer de nouvelles solutions »

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Lancer des « contributions-temps » sur le modèle des travaux d’intérêt général, rompre le cercle vicieux de la croissance soutenue par la dette, miser sur la transition écologique et la redynamisation des territoires… Face à la crise, voilà quelques-unes des idées enthousiastes du philosophe Patrick Viveret. Entretien.

3 commentaires
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  • lamoule : Très intéressant

    Ceci dit si la productivité s’est traduite par le chômage de masse, c’est du fait de la concurrence mondiale.

    A moins de revenir à un semblant de protectionnisme intelligent au niveau européen, point de salut.

    20.07 à 12h49 - Répondre - Alerter
  • Tout-à-fait d’accord : une approche focalisée exclusivement sur l’argent est une ânerie dangereuse. Il faut même aller plus loin : toute approche REALISTE (dans n’importe quel domaine) doit être GLOBALE. Par exemple, ne pas seulement tenir compte du présent, mais le mettre en perspective avec l’historique et le futur ; éviter le piège de l’anthropocentrisme et prendre en compte l’équilibre indispensable entre les formes de vie (sociale, animale, végétale, géologique et même sidérale, vu la quantité de pollution déjà présente dans l’espace)
    Principal obstacle à la lucidité : un égocentrisme à courte vue, immature et généralisé. Et hélas, je n’ai pas l’embryon d’une solution à cet état de fait...

    22.07 à 12h59 - Répondre - Alerter
  • Je retiens deux points clefs de cet interview :
    - PV pense que le PIB est un instrument stupide qui n’est plus apte à aider qui que ce soit dans la situation actuelle. Je suis en total accord avec son analyse. L’utilisation de cet indicateur contribue à amplifier la crise (enfin sauf pour les "profiteurs").
    - PV pointe la confusion entre "bénéfices" et "profit". Là aussi je suis en accord. J’irai même plus loin, je crois que "bénéfices" sera toujours dans une dimension plurielle. Il peut y en avoir de plusieurs types sans qu’ils soient en opposition (bénéfices sociaux, sociétaux, culturels, etc...) mais aussi avec une distribution large entre, acteurs directs ou destinataires, voire même ausii pour nos environnements (biosphères, familles, ...) "bénéficiaires" au 2° degré. On est dans une approche humaniste et de partage.
    Au contraire, "le profit financier" et bien plus unique et de distribution limitée. On est là dans une approche de rareté organisée, base d’un monde de "classes".

    23.07 à 15h36 - Répondre - Alerter
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