En France, seules deux enseignes – Leclerc et Casino – affichent le bilan CO2 de certains produits. Mais chacune possède son comptage maison. Décryptage des deux méthodes.
Même si ces initiatives méritent d’être saluées, le chemin est encore long avant un étiquetage écologique vraiment discriminant entre les produits.
A terme, ce genre d’initiative devra permettent au consommateurs d’identifier les produits les plus respectueux de l’environnement et ainsi tirer le marché vers une meilleurs prise en compte de ces aspects.
Si chez Leclerc, seul le conditionnement permet de distinguer les produits entre eux, nous sommes encore loin du compte... Quid des matières premières et de la fabrication ? Pourtant très différents d’un industriel à l’autre !
Ma conclusion serait qu’un étiquetage réussit devrait pouvoir empêcher le greenwashing, les performances environnementales d’un produit "vert" ou s’annonçant comme tel étant systématiquement vérifiées, quantifiées puis comparées aux autres produits...
Carbone en quête d’étiquette