En France, seules deux enseignes – Leclerc et Casino – affichent le bilan CO2 de certains produits. Mais chacune possède son comptage maison. Décryptage des deux méthodes.
Même si ces initiatives méritent d’être saluées, le chemin est encore long avant un étiquetage écologique vraiment discriminant entre les produits.
A terme, ce genre d’initiative devra permettent au consommateurs d’identifier les produits les plus respectueux de l’environnement et ainsi tirer le marché vers une meilleurs prise en compte de ces aspects.
Si chez Leclerc, seul le conditionnement permet de distinguer les produits entre eux, nous sommes encore loin du compte... Quid des matières premières et de la fabrication ? Pourtant très différents d’un industriel à l’autre !
Ma conclusion serait qu’un étiquetage réussit devrait pouvoir empêcher le greenwashing, les performances environnementales d’un produit "vert" ou s’annonçant comme tel étant systématiquement vérifiées, quantifiées puis comparées aux autres produits...
Je suis tout à fait en accord avec votre conclusion. Évidemment les producteurs ont tendance à minimiser leur empreinte écologique. Il est hasardeux de demander à un contrevenant quelle est l’ampleur de sa faute. En la matière on ne doit rien négliger, tout doit être évalué, mesuré et contrôlé. J’adore me renseigner et renseigner les autres sur de tels sujets. À cet effet j’aimerais présenter, à ceux que ça peut intéresser, mon blog qui contient des articles sur le climat, les économies d’énergie, les énergies renouvelables, le réchauffement climatique, etc. www.denis-laforme.over-blog.com
Carbone en quête d’étiquette