Le rapport scientifique est basé sur les projections cataclysmiques des modèles numériques du GIEC. Or ces modèles ne reposent que sur des hypothèses non prouvées, dont la principale est le rôle moteur du CO2 sur T. Il est donc normal, indépendamment des aspects économiques, de considérer que les prévisions annoncées ne reposent sur rien de solide, et, comme la Caroline du Nord dispose du temps long climatique, mieux vaut adopter la sage position anglo-saxonne du "wait and see", sans rien engager pour le moment.
Evidemment, cette sage position modérée énerve l’honorable Pierre Barthélémy, connu pour sa défense acharnée du GIEC et du dogme du Réchauffement Climatique Anthropique, tout comme pour sa censure impitoyable de tout commentaire qui ne serait pas dans la droite ligne du Parti.
Le réchauffement climatique, ça se discute en Caroline du Nord