Alain Grandjean invoque le Malade imaginaire et Candide pour revisiter le match qui se joue entre partisans et opposants à l’austérité. Et pour appeler à une troisième voie.
Voir aussi chez TE, l’interview de Dennis MEADOWS.
Et pour compléter la vision de George MONBIOT :
"La croissance est un sédatif politique qui étouffe la contestation, permet aux gouvernements d’éviter l’affrontement avec les riches, empêche de bâtir une économie juste et durable."
Je partage
Le débat sur les indicateurs, qui monte, qui monte, qui ... est important. Il y a d’autres dimensions que le PIB, peu représentatif de notre vécu, surtout dans la situation ou nous sommes désormais !
Mais, pour en rester sur le PIB, n’y a-t-il pas possibilité de travailler un décrochage de l’emploi avec sa croissance ? (à +1%, plutôt que 2, on crérait l’emploi suffisant).
Amis économistes, je suis preneur d’éclaircissements !
Molière, François Hollande et la croissance perdue