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Opinion

Vers l’économie du don

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Laurent Saussereau décrit l’émergence d’une nouvelle économie, coopérative, gratuite, et basée sur la confiance.

5 commentaires
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  • Très bon article...Merci CP

    Internet ouvre de nouvelles perspectives et de nouvelles pistes de financement, notamment de la création.
    Nous vivons une révolution numérique en ce début du XXIe siècle aussi importante que les révolutions industrielles du XIXe siècle.
    Nous devons repenser nos manières d’acheter, de consommer et de soutenir.
    Acceptons le changement et adaptons-nous..
    J’écris moi-même sur les nouveaux enjeux de cette économie immatérielle.
    N’hésitez pas à me lire sur mon blog monartisteleblog.fr et à revenir vers moi.
    Nicolas

    13.04 à 14h32 - Répondre - Alerter
  • Qu’est-ce que c’est que tous ces commentaires négatifs ? Le don ça existe effectivement en France : il y a des associations qui mettent en relation des jardiniers amateurs sans jardin avec des propriétaires de jardin âgés ou malades qui ne peuvent plus l’entretenir (pas d’argent juste un partage des légumes ou simplement l’entretien des fleurs). Dans cette association (celle dont je fais partie), on pratique aussi l’échange de semences, de plants, et on donne aussi. Il n’y a pas de "poires" là-dedans, car tout le monde y gagne, car pas d’argent en jeu. On a même réussi à avoir un jardin où on a pu installer une serre et certains d’entre nous y font pousser des plants de toute sorte avec leurs graines, pour pouvoir les redistribuer aux autres membres (et à eux-mêmes : pas de "poires" là-dedans, dis-je ! et toujours pas d’argent en jeu).
    Je sais : je suis un peu "hors sujet", mais l’idée est là...

    12.04 à 11h17 - Répondre - Alerter
  • Quand Marcel Mauss fait une théorie du don c’est sur la base des documents de l’anthropologue anglo britannique Malinowsky qui a passé la premiere guerre mondiale dans les iles Trobriand (dans l’actuelle Indonésie). On est en 1918 avant le développement de la consommation de masse qui nous fait redécouvrir un siècle plus tard la même aspiration à des échanges non dominateurs. C’est à la fois rendu possible par internet et interdit par la main mise que les militaires, google et les affrontements nationaux continuent d’avoir sur le réseau. Au moment même ou on a l’instrument d’individualisation de la comptabilité des échanges, -le pc-, on a aussi le systeme le plus paranoiaque de surveillance ayant jamais existé. Chaque jour Google mesure la perte des ressources forestières au Bresil et dans toute l’amerique latine et chaque jour les planteurs de soja, les eleveurs de bétails, les chercheurs d’or et autre minerais, et les constructeurs de barrage l’emportent sur les arborigénes porteur de l’échange.

    11.04 à 08h53 - Répondre - Alerter
  • Mouais, un magnifique raccourci que votre économie du don, qui occulte totalement le crowdsourcing, dont l’objet est de faire travailler gratuitement des amateurs et ainsi faire des économies substantielles ... c’est par amour du partage vu que les sociétés pratiquant ce genre d’esbrouffe, mais du gain facile.

    En illustration, la photo illustrant cet article, choisie avant pour son caractère gratuit comme toutes celles du mag ... et vos journalistes et actionnaires, ils sont tous bénévoles ?

    10.04 à 22h12 - Répondre - Alerter
  • Pear to pear ? Poire à poire ? o_O

    10.04 à 13h03 - Répondre - Alerter
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