Le tourisme durable et collaboratif, c’est possible. Grâce à Internet et aux réseaux sociaux, le champ d’horizon s’est élargi. Sortez les palmes (ou les skis) !
OK, grosses économies, mais si à la clef c’est pour se payer un gros voyage bien polluant en avion à l’autre bout du monde (j’en connais qui font ça) en faisant des échanges internationaux, je doute que l’impact écologique global soit si positif en pratique.
Soyez écofrugal, optez pour les vacances « échangistes »