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France : pour ou contre les OGM ?

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D’un côté, l’Hexagone s’oppose fermement au maïs Monsanto. De l’autre, il veut permettre aux OGM de pousser à côté des cultures non-OGM. Explications en jouant à pour ou contre.

5 commentaires
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  • N’ayant aucune confiance en l’actuelle pseudo ministre de l’écologie, et sachant que si la France n’est + ou - préservée de Monsanto que grâce au Faucheurs Volontaires, je me demande pourquoi ceux ci sont-ils encore harcelés par la justice française ? Cette question ne résume-t-elle assez l’hypocrisie d’1 gouvernance qui essaie, par des moyens détournés, de duper son peuple ? Quand j’évoque le codex alimentarius adopté par la commission européenne, personne ne réagit...et pourtant c’est 1 procédé pour imposer mondialement, les dépendances liées à l’alimentation, à la santé , ainsi que dans d’autres domaines ! Lorsque vous enquêtez sur les partenariats, vous finissez par comprendre la pétro-chimie est à l’origine de l’essor de toutes les multinationales qui tiennent les rênes du pouvoir...

    7.02 à 09h29 - Répondre - Alerter
  • Une nouvelle clause de sauvegarde sur le maïs transgénique MON 810, dont on n’a pu trouver aucune conséquence négative sur le plan de la santé et de l’environnement, entrainera très probablement l’interdiction de tous les autres OGM pour une longue période.En conséquence les agriculteurs français seront dans l’impossibilité d’utiliser les applications d’une technologie largement reprise par ses concurrents étrangers. Ces distorsions de concurrence seront fatales pour nos agriculteurs et coûteront très cher à notre économie. Je ne voudrais pas être le Ministre qui signera cet arrêt de mort des OGM en France compte tenu des conséquences stratégiques en chaine qui en résulteront pour l’avenir de notre pays.

    7.02 à 09h54 - Répondre - Alerter
  • "Ces distorsions de concurrence seront fatales pour nos agriculteurs et coûteront très cher à notre économie"...Ce qui coûte, c’est la disparition progressive de la paysannerie, au profit de l’industrie agro-alimentaire. De quel avenir de la France, parle-t-on lorsque croîssent le chômage et les misères mentales et physiques ? Oser évoquer 1 futur quelconque, alors que l’on continue à poursuivre la politique de l’autruche, malgré les résultats déplorables du présent ! C’est vrai qu’il faut du culot, pour continuer à essayer de vendre 1 soupe empoisonnée ! Et surtout en économiste "éclairé" (certainement au nucléaire), on vous conseille d’oublier que le capital de base est...la Terre.

    8.02 à 09h25 - Répondre - Alerter
  • Nonobstant les questions industrielles des OGM, d’indépendance des agriculteurs, de biodiversité, de toxicité confirmée ou pas encore sur le consommateur (animal ou humain), de pollution environnentale (eau, sol...), on devrait aussi se poser des questions agronomiques de base :
    On nous vend que les OGM sont la seule solution contre la pyrale, les mauvaises herbes, la sécheresse... . Il faudrait donc absolument laisser les agriculteurs s’en servir…
    Il me semble qu’il existe des techniques culturales pour diminuer la pression des insectes, les besoins en eaux, les herbes folles, ainsi que des variétés non OGM moins fragiles qui apportent des réponses.
    Des études scientifiques ont également prouvé l’apparition de populations d’insectes tolérants voire résistants (une exposition large dans l’espace et dans le temps à la toxine sensée les combattre est la façon la plus rapide de sélectionner des parasites résistants. C’est pourtant le même phénomène en microbiologie : « les antibiotiques, c’est pas automatique ! » ce n’est pas que pour une question de déficit de la sécu.)
    Par ailleurs, il faudrait peut-être savoir revenir au fondamentaux de l’agriculture : c’est quoi une rotation de culture ? à quoi ça peut servir ? doit-on cultiver pendant 20 ans du maïs sur la même parcelle sous prétexte que c’est la culture la plus rentable ? Si les politiques agricoles ne l’ont pas compris, certains agriculteurs ne l’ont pas oublié…
    Alors, qui a besoin d’OGM ?

    8.02 à 11h08 - Répondre - Alerter
    • Tout à fait d’accord avec votre raisonnement. J’ajouterai que dans les pays (comme l’Inde par exemple) où on a décidé de faire confiance à des multinationales comme Monsanto, les agriculteurs se suicident en masse, face à la spirale d’endettement occasionnée par cesdites multinationales, alors qu’avant ils s’en sortaient. Non contentes d’avoir ponctionné ces agriculteurs et les avoir poussés au suicide, ces multinationales voudraient bien en faire autant chez nous ! Merci à José Bové and Co de nous avoir ouvert les yeux et de faucher pour nous les poisons qu’on nous impose.

      8.02 à 12h08 - Répondre - Alerter
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