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Opinion

Présidentielle : la remise des bulletins écolos

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Sept candidats à la présidentielle ont passé samedi leur grand oral écolo devant la fédération FNE. Laure Noualhat, collaboratrice de « Terra eco » juge, note et commente leur prestations. Décapant.

20 commentaires
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  • Curieux article où l’on compare les compétences oratoires des candidats plutôt que leurs idées. A quand un comparatif des différents programmes thème par thème ? A quand des interviews pour cerner les divergences des différents projets de société proposés ?

    10.02 à 18h16 - Répondre - Alerter
  • Que des déchets hospitaliers ? Franchement, à force de se goinfrer dans tous les sens, il y en a qui ne n’arrive même plus à comptabiliser leurs déjections après consommations !
    Pôôôvre Poutine, pas trop dur de n’être qu’1 clone de laboratoire, sans conscience, ni mémoire ? On se prend pour 1 être civilisé quand on laisse ses merdes le long de ses passages ? Faites vous autre chose que de les enfouir, comme les chiens de la connerie ?
    Pôôôvres bêtes de la suffisance, quelque soient vos intrigues, vous n’échapperez pas à vos crimes. Vous ne tarderez à vivre ce que vous avez fait subir à autrui, et + vite que vous ne prévoyez ! Nous avons décidé d’arrêter Notre neutralité dans la gestion de Notre Création !

    2.02 à 15h15 - Répondre - Alerter
  • Eh, en attendant de bluffer sur les capacités de gestion et de stockage des déchets de la luxure, ça en véhicule en douce, par le RER et autres voies ferrées. Rien qu’à penser aux conséquences d’1 déraillement accidentel, j’en ai des frissons...nucléides. Sans parler des séismes multipliés par vos "bonnes intentions", vos enfouissements spéculatifs...

    1er.02 à 11h57 - Répondre - Alerter
  • *L’idée selon laquelle « on ne sait pas quoi faire » des déchets radioactifs est complètement fausse. En France tous les types de déchets sont gérés selon des méthodes et des procédures précisément définies tenant compte de leurs caractéristiques particulières. Les deux tiers des déchets proviennent du programme électronucléaire. Le tiers restant provient du secteur médical, de la recherche, de l’industrie, de la Défense nationale.

    *Que les déchets soient stockés définitivement ou entreposés provisoirement, le principe technique qui commande à leur gestion est le même : il consiste à les confiner sous forme stable dans des structures étanches. Gérés de longue date, en France, selon ces techniques, les déchets nucléaires n’entrainent aucune nuisance significative pour les personnes ou pour l’environnement.

    *Plus de 90 % des déchets (moyenne, faible, très faible activité à vie courte) suivent des filières aboutissant à des stockages définitifs dans trois centres dédiés : La Manche, Soulaines, Morvilliers. Pour les déchets à vie longue, deux centres sont prévus : stockage en sub-surface pour les déchets de faible activité ; stockage en couche géologique profonde pour les déchets de moyenne et haute activité (stockage réversible). Selon la loi, ce stockage devrait entrer en service en 2025.

    *Les déchets de haute activité (= les cendres de combustion de l’uranium) ont un volume très réduit : moins de 3000 m3 à l’heure actuelle (totalité produite depuis les débuts du programme nucléaire français) soit un pavillon de deux étages. Mis sous forme de blocs vitrifiés dans des conteneurs en acier, ils sont appelés à être stockés dans des « alvéoles » ou casemates aménagées à l’intérieur d’une couche géologique stable et imperméable à 400 ou 500 mètres de profondeur. Un consensus international existe pour établir que ce stockage géologique permettra d’isoler les déchets de la biosphère le temps que leur radioactivité ait diminué à un niveau négligeable. Tous les scénarios, y compris les hypothèses les plus pessimistes, montrent qu’un tel stockage offre la garantie très solide que ces déchets n’occasionneront à nos descendants aucune nuisance inacceptable.

    31.01 à 16h19 - Répondre - Alerter
    • Bon, et si vous sortiez un peu de vos chiffres et raisonniez en humain, ce que vous n’êtes manifestement plus ; et puis, le Nucléaire c’est votre gagne-pain, Monsieur Frédéric LAYE... Je suis allée sur Internet... alors arrêtez de jouer aux boutiquiers pour nous vendre votre salade immangeable !

      31.01 à 16h33 - Répondre - Alerter
      • Il faut établir un fichier au cas où ... Comme ils sont beaux nos khmers verts !

        31.01 à 16h37 - Répondre - Alerter
        • Je vais poser une main courante à la gendarmerie. Je me demande comment se fait-il que l’on dispose si facilement de mon adresse e-mail sur ce site en contravention de la loi "Informatique et Liberté.

          En plus des sciences, je connais aussi très bien le Code Civil

          31.01 à 16h41 - Répondre - Alerter
          • merci pour m’avoir laissé le temps de faire une saisie d’écran

            31.01 à 16h55 - Répondre - Alerter
            • Et alors ? Vous cherchez à m’impressionner ? Mon pauvre Monsieur, je ne vois pas où j’ai contrevenu à la loi, vu que TERRA ECO m’a répondu sur ma messagerie en me donnant vos commentaires et votre adresse mail, et que j’imagine vous aussi vous avez mon adresse mail, de la même façon... et puis, vous savez, une retraitée, qu’est-ce qu’elle s’en fiche de vos menaces !

              31.01 à 17h43 - Répondre - Alerter
              • ... Et puis, si vous vouliez rester dans l’anonymat, il fallait pas concevoir une adresse mail avec votre nom et prénom ! Une preuve de plus de votre manque de réflexion, et dire que ce sont des gens comme vous qui refont le monde ! on ne peut pas dire que ça rassure.

                31.01 à 17h59 - Répondre - Alerter
                • et en plus je lui paye sa retraite ...

                  continuez à vous agiter dans votre secte à 3% ...

                  31.01 à 18h18 - Répondre - Alerter
                  • et passez le bonjour à Jean-Pierre Pernaut la prochaine fois que vous aurez des infos de première main sur TF1 !

                    31.01 à 18h19 - Répondre - Alerter
                    • Parmi ces 68ards aujourd’hui retraités, il y a ceux qui ont réussi et qui sont devenus des patrons comme Denis Kessler, ceux qui sont devenus grassouillets VRP multi-cartes de l’oligarchie financière comme Cohn Bendit et puis la majorité de minables qui ont une mentalité de fliquette, qui traitent de "boutiquiers"les gens qui ne sont pas de leur avis, qui leur reprochent de travailler et d’être fiers d’avoir des convictions et qui pour cela leur dénient toute forme d’"humanité" sous prétexte qu’ils ont des facilités dans les sciences dures ...

                      Enfin bon, le terrorisme intellectuel, aujourd’hui ça n’impressionne plus personne.

                      31.01 à 20h58 - Répondre - Alerter
  • Par un tour de passe-passe totalement inattendu, un tsunami japonais a donc mis l’énergie au centre de notre élection présidentielle. La voie empruntée est originale, mais il était temps que cela arrive !

    Qu’est-ce que l’énergie ? Tout simplement ce qui permet de chauffer, refroidir, déplacer, tordre, étirer, laminer, mélanger, transmettre, creuser, ériger… en clair transformer ce qui nous entoure. En ayant multiplié par plusieurs centaines l’action de nos seuls muscles sur l’environnement, l’énergie est devenue le sang des sociétés industrielles. Tant que les ressources sont sans limites, plus on a d’énergie et plus on peut créer de flux physiques, dont le PIB n’est que la traduction monétaire.

    Entre 1880 et 1975, chaque terrien a disposé de 2,3% d’énergie supplémentaire par an, pouvant ainsi créer, toutes choses égales par ailleurs, 2,3% de flux physiques en plus. Dans le même temps, l’efficacité énergétique de l’économie, parfois appelée « progrès », rajoutait une production supplémentaire par unité d’énergie. Avant les chocs pétroliers, le PIB par être humain progressait alors de 3% par an. En 1980, le pétrole, qui fournit toujours 40% de la consommation planétaire d’énergie finale, est brusquement passé de 5,5% de croissance annuelle moyenne à… 0,8% (et depuis 2005 c’est zéro).

    Malgré l’augmentation du gaz et du charbon, la croissance de l’énergie par terrien est soudainement descendue à 0,2% par an. L’efficacité énergétique a continué, de 1% par an (mais pas plus ; aucune dématérialisation accélérée n’a eu lieu). La croissance du PIB par habitant de la planète est alors passée de 3% à 1% par an, engendrant au passage notre problème de dette en Occident.

    En 2010, la France a consommé 1800 TWh (un TWh = un milliard de kWh) d’énergie finale, pour un PIB de 1900 milliards d’euros, soit environ 1 kWh d’énergie finale par euro de PIB. 750 TWh viennent du pétrole, 450 du gaz, 300 du nucléaire, 100 du charbon, 100 du bois et 50 de l’hydroélectricité (l’éolien fait 10 et le photovoltaïque 1). Diviser par quatre nos émissions de CO2 d’ici à 2050, comme la loi de 2005 sur l’énergie le prévoit, implique de passer de 1350 à 350 TWh sur les énergies fossiles.

    Et les renouvelables ? Comme elles demandent beaucoup plus de capital par kWh que les énergies fossiles, 200 TWh supplémentaires donne un ordre de grandeur. Reste le nucléaire. Si nous le supprimons, ce qui est le but de EELV, il reste 700 TWh en 2050. En conservant 1% de gain annuel sur l’efficacité énergétique de l’économie (hypothèse discutable, car ce progrès suppose une rotation du capital qui disparaît en récession), notre PIB serait alors de 900 milliards d’euros environ en 2050, soit la moitié d’aujourd’hui. Savoir si ce serait un bien ou un mal pourrait être un long débat. Mais le PS a-t-il bien compris que c’est cela qu’il soutenait dans les faits ?

    Jusqu’où peut-on faire autrement ? Pour les combustibles fossiles, une partie de la messe est dite de toute façon. La production mondiale de pétrole diminuera de moitié environ d’ici à 2050. Avec l’effet d’éviction du aux émergents qui prendront une part croissante de ce qui restera, une division par quatre de notre approvisionnement est assez vraisemblable. Le gaz européen vient pour 60% de la Mer du Nord, qui a entamé son déclin, et les Russes ne compenseront pas la différence. Incidemment, cela rend impossible de remplacer le nucléaire par du gaz en 2030 : le gaz nécessaire ne sera pas là ! Il vaut mieux consacrer nos capitaux à remplacer gaz et fioul du chauffage (environ 400 TWh au total) par de l’isolation et… de l’électricité nucléaire. Idem pour les transports, où il faut supprimer 400 à 500 TWh de pétrole en divisant la consommation des véhicules par 3, et en électrifiant une partie des véhicules… sans CO2.

    Nos amis Allemands, souvent cités en exemple, ne s’apprêtent pas du tout à faire la « transition vers les renouvelables ». Ils vont surtout faire appel au gaz russe - au détriment des autres européens - et au charbon, qu’ils ont chez eux, et augmenter leurs émissions de CO2. Ils sont déjà à 10 tonnes par personne et par an - contre 6 pour un Français - alors qu’il faut viser 2 tonnes en 2050 ! La sortie du nucléaire en Allemagne sera(it) un coup terrible porté à « l’Europe du climat ». Belle réalisation écologique, en vérité…

    A l’opposé, si nous supprimons trois quarts des fossiles, ce qui est imposé, doublons les renouvelables, ce qui est possible, et augmentons le nucléaire de 50%, cela permet plus de 1000 TWh et 1400 milliards d’euros de PIB en 2050. Cette option, qui suppose un plan comme nous n’en avons jamais vu depuis la reconstruction, et, déjà, l’oubli de la croissance comme objectif cardinal, est probablement jouable dans un monde qui reste pacifique et démocratique. En y rajoutant la sortie du nucléaire, c’est moins sûr.

    31.01 à 09h56 - Répondre - Alerter
    • J’espère pour vous "Poutine7" que vous avez regardé les infos ce midi, car la Cour des Comptes s’avère incapable de chiffrer le coût exact du Nucléaire, en y comptant son démantèlement, et les chiffres qu’elle avance démontre que le Nucléaire nous coûte beaucoup plus cher que ce que nous croyons... alors nous raconter qu’il faut ajouter 50 % de Nucléaire à une sauce déjà trop salée, moi je dis que le résultat sera immangeable !... et pensez un peu aux générations futures au lieu de ne penser qu’à votre petit confort d’aujourd’hui !

      31.01 à 16h02 - Répondre - Alerter
      • Affirmation fausse.

        di Coût de R/D jusqu’au stockage des déchets : 228 milliards d’euros.

        Et ce que cela rapporte : 70 milliards de CA pour EDF/an, 23 milliards d’importations d’hydrocarbures
        (gaz et pétrole) économisés par an.

        Par ailleurs, le rapport si vous vouliez bien le lire et non commenter un commentaire (biaisé)
        dit bien que l’élasticité du coût est faible. Notamment, un doublement du prix du démantèlement
        occasionnerait uniquement un relèvement de 5 % du kWh EDF.

        Enfin un rapport impartial mais on peut toujours fantasmer sur des sommes de plusieurs milliards,
        rappelons qu’il y a quelques semaines Siemens chiffrait la sortie du nucléaire en Allemagne (pour une
        part de 22 % seulement) à 1700 milliards !

        31.01 à 16h08 - Répondre - Alerter
        • Evidemment que la sortie du Nucléaire coûte cher, et continuera indéfiniment à nous coûter cher, puisque nous n’avons pas encore les solutions pour nous débarrasser des déchets ! et vous, vous proposez d’y rentrer ! on marche sur la tête...

          31.01 à 16h17 - Répondre - Alerter
          • Sarkozy est pour continuer, Hollande est pour arrêter uniquement Fessenheim (probablement que NKM
            demanderait la même chose).

            Donc au fond le référendum, on va l’avoir en avril/mai, résultat POUR : 24+31=55 % CONTRE 3% (Ach Eva)+ 7% (Jean-Luc)+ 1 % (Corinne) = 11 %. NE SE PRONONCE PAS = 100-66 = 34 %.

            31.01 à 16h35 - Répondre - Alerter
      • PARIS (Reuters) - Prolonger la durée de vie des centrales nucléaires françaises au-delà de 40 ans d’exploitation semble inévitable sauf à accepter des investissements difficilement réalisables ou une baisse de la consommation d’électricité, selon un rapport de la Cour des comptes publié mardi.

        Vingt-deux des 58 réacteurs français, représentant environ 30% de la puissance nette du parc, atteindront leur quarantième année de fonctionnement d’ici à la fin 2022, a rappelé la Cour.

        "Par conséquent", a-t-elle résumé dans un communiqué, "dans l’hypothèse d’une durée de vie de 40 ans et d’un maintien de la production électronucléaire à son niveau actuel, il faudrait un effort très considérable d’investissement équivalent à la construction de 11 (réacteurs de type) EPR d’ici la fin de 2022".

        "La mise en oeuvre d’un tel programme d’investissement à court terme paraît très peu probable, voire impossible, y compris pour des considérations industrielles."

        La Cour des comptes a en outre souligné que, quels que soient les choix futurs, des investissements massifs seraient nécessaires pour maintenir la production actuelle d’électricité.

        Elle a également précisé que son rapport avait "pour seule ambition de mesurer des coûts sans porter de jugement sur leur niveau" et ne se penchait pas sur l’impact des investissements à venir sur les tarifs.

        "PAS D’OUBLI" CONSTATÉ

        "Le recensement des différents types de coûts à la charge des exploitants ont bien tous été identifiés et figurent dans leurs comptes", a déclaré lors d’une conférence de presse le premier président de la Cour des comptes, Didier Migaud. "La Cour n’a pas constaté d’oubli."

        "Les évaluations des coûts futurs sont encore très incertaines et cette incertitude ne peut être levée pour le moment faute d’avoir vécu l’expérience concrète du démantèlement ou de la mise en oeuvre du stockage profond (des déchets)", a-t-il cependant ajouté.

        La Cour a également précisé que le doublement des investissements annuels de maintenance d’EDF attendu entre 2011 et 2025 entraînerait en revanche un renchérissement de ces coûts de l’ordre de 10%. (voir )

        Ces investissements de maintenance pourraient atteindre 3,7 milliards d’euros par an sur la période en incluant les travaux imposés par l’Autorité de sûreté nucléaire après la catastrophe de Fukushima, qu’EDF estime aujourd’hui à 10 milliards d’euros au maximum.

        La publication du rapport de la Cour des comptes intervient alors que l’opportunité de fermer certaines centrales ou de prolonger leur durée de vie s’est imposée comme un sujet majeur du débat de la campagne électorale pour la présidentielle après la catastrophe nucléaire japonaise de Fukushima, survenue en mars 2011.

        LA COUR VEUT DES ORIENTATIONS CLAIRES

        Le gouvernement a fait savoir qu’il entendait poursuivre l’exploitation du nucléaire français. Le candidat socialiste François Hollande s’est engagé à ne fermer que la centrale nucléaire de Fessenheim (Bas-Rhin) au cours du prochain quinquennat s’il est élu président de la République.

        François Hollande, qui a ainsi pris ses distances avec un accord électoral difficilement conclu entre le PS et Europe Ecologie-Les Verts prévoyant de fermer 24 des 58 réacteurs français d’ici à 2025, souhaite en outre ramener la part de l’électricité nucléaire en France de 75% à 50% à l’horizon 2025.

        Il s’est également engagé à achever le chantier de l’EPR de Flamanville (Manche) mais ne lancera pas celui de Penly (Seine-Maritime), programmé par le gouvernement actuel.

        La Cour des comptes rappelle que la programmation pluriannuelle des investissements (PPI) de production d’électricité pour 2009-2012 privilégie "un scénario central de prolongation au-delà de 40 ans du parc nucléaire".

        Mais elle réclame "des orientations de la politique énergétique à moyen terme, publiquement connues et utilisables par tous les acteurs du secteur".

        "En effet (...), ne pas prendre de décision revient à faire un choix, celui de faire durer le parc actuel au-delà de 40 ans", ajoute-t-elle.

        Le Premier ministre François Fillon a réagi en indiquant dans un communiqué que "les choix sur la durée de fonctionnement des centrales nucléaires ou la construction de nouveaux réacteurs revêtant un caractère stratégique et déterminant sur les coûts de la filière, ils (seraient) précisés dans le cadre de la PPI élaborée à partir de l’été 2012".

        L’association de consommateurs UFC Que Choisir a de son côté demandé aux pouvoirs publics de "lancer sans attendre un débat transparent, basé sur des données objectives, sur l’avenir de la politique énergétique française, notamment sur la construction des prix de l’électricité et sur les éventuels arbitrages technologiques à réaliser".

        31.01 à 16h17 - Répondre - Alerter
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