Quand le leader mondial de la chimie tente de se faire passer pour un Cupidon bienfaiteur de l’humanité, les écolos le rembarrent. Mais même les pubeux trouvent qu’il en fait des tonnes.
Je suis d’accord avec les propos du directeur de la communication de BASF France : la chimie a pris conscience de son impact négatif, elle peut et doit devenir une source de solutions.
Mais ce n’est pas une raison pour diffuser ce genre de campagne. J’ai l’impression que tout le débat sur la publicité responsable n’est jamais parvenu aux oreilles de BASF et de leurs consultants !
De l’amour à l’écologie, BASF papillonne