Un grand bravo aux acteurs de Greenpeace qui donnent une preuve flagrante que l’accès dans les sites est facile. Heureusement que ce sont des non violents qui s’y sont introduits, et pas n’importe quel terroriste ! Ils devraient même être récompensés par Areva et Sarkozy, de les avoir alertés sur ce problème...Mais pas sûr que les officiels aient compris qu’au lieu d’investir dans des systèmes de sécurité qui coûtent, ils devraient écouter leur conscience. Tant qu’ils sont chèrement payés pour rester aveugles, et n’entendre que le froissement des billets...Au quel cas, ne restera que la colère de la Terre pour les secouer en personne...1 secousse sous Matignon ? Car les catastrophes multiples ne suffisent pas à arrêter leur cupidité, apparemment !
Pour être complètement juste dans le traitement de l’info, il semblerait quand m^me que des militants se soient fait pincés lors de leur tententaive sur le site CEA de Cadarache
OK, maintenant que Greenpeace a "alerté" PUBLIQUEMENT que les centrales étaient ouvertes aux quatres vents, nul doute qu’on risque d’avoir des problèmes bien plus graves.
Irresponsabilité grave de Greenpeace sur ce coup là.
OK, maintenant que Greenpeace a "alerté" PUBLIQUEMENT que les centrales étaient ouvertes aux quatres vents, nul doute qu’on risque d’avoir des problèmes bien plus graves.
Irresponsabilité grave de Greenpeace sur ce coup là.
Ils auraient du plutôt alerter l’exploitant des centrales sans faire de battage médiatique, et réagir dans 6 mois si jamais il ne se passait rien.
Ensuite, l’intrusion remet-elle réellement en cause l’intégrité de la centrale. J’aimerais avoir des précisions sur le sujet quand même ...
Lorsqu’aucune réponse n’est apportée directement, lorsque la seule réponse à des questions sensibles est le silence, la seule action pacifique restante qui puisse porter des fruits est la médiatisation.
EDF qualifie d’irresponsable de signaler une faille. Il est encore plus irresponsable qu’EDF et les politiques se voilent la face alors que GreenPeace les alerte depuis des années sur le sujet. L’association passe à la vitesse supérieure, ne laissant d’autre choix que de renforcer la sécurité autour des sites sensibles. C’est bien là l’essentiel, non !
C’est ce que prétend EDF qui ne saurait dire autre chose de toute façon. GreenPeace souhaite prouver le contraire, vidéos à l’appui. A moindre d’être sur place, difficile de se faire une opinion de la situation exacte. Toutefois, le simple fait de pouvoir entrer sur le site me semble déjà beaucoup. Qu’en serait-il avec des terroristes entraînés ?
De toute évidence, vous n’en savez pas plus que moi sur le sujet.
Ceci dit, croyez bien que si les militants étaient entrés dans des zones protégées, le bruit serait encore plus grand ... Inutile de tirer des plans sur la comète, au final Greenpeace fait beaucoup de bruit pour rien.
Je suis inquiet des interventions de Greenpeace. Après avoir très longtemps travaillé dans les REP 900, je me rends compte que ces vieilles unités sont bien plus sûr que les unités N4 comme Nogent. En effet à Blaye et Chinon ils n’ont pu accéder nul part.
Le danger principal est que les autorités décident d’armer le gardiennage des sites nucléaires puisque les pelotons de gendarmerie installée près des sites ne servent qu’à contrôler la vitesse des voitures et l’alcoolémie des ouvriers travaillant sur les sites nucléaires du moins cela étaient leurs rôles essentiels lorsque j’ étais en activité
"Non, la SEULE attitude responsable aurait été de ne rien dire." Waouh, ça résume la politique des corrompu(e)s, le pseudo-benêt ou benoit ( 10000 excuses à mes amis qui pourraient se sentir souillés par 1 tel pseudo...). No more comment !
Ils auraient du frapper avant d’entrer, s’essuyer les pieds sur le
tapis-brosse, dire merci pour la visite "guidée" et s’excuser "pour le dérangement" en partant. La bienséance aurait été respectée. Benoit serait rassuré.Le bon peuple aussi parce que ce n’est pas sympa de l’alarmer ainsi en ces temps de criiiiiiiiiise. Ca trouble la cérémonie d’allégeance au dieu "marché" et à ses deux mamelles, "appat du gain" et "soif de pouvoir".
Greenpeace joue à cache-cache dans des centrales