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L’économie expliquée à mon père

Dette publique : c’est grave, mais c’est pas grave

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L’Etat croule sous les dettes. Du coup, les Français vont devoir se serrer la ceinture. Vrai ou faux  ? Décryptage.

12 commentaires
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  • Je vois mal l’Etat mettre en vente la Joconde !

    Le montant de la dette publique a une grave incidence dans la mesure où chaque année nous dépensons 40 Milliards d’Euro pour le service de la dette (Capital + Intérêts) et ces 40 Mds là ne sont d’aucune utilité pour la Nation. Alors oui c’est grave ! Et cette somme ira en s’accroissant si nous continuons à faire du déficit. Et ce n’est pas les positions des 2 favoris aux présidentielles qui vont me réconforter !

    Bonne journée

    Ch

    26.02 à 10h34 - Répondre - Alerter
  • Merci pour cet article, cela fait du bien de lire un écrit journalistique qui fait la part des choses et en plus, avec un vocabulaire accessible au néophite. Nous sommes vraiment intoxiqués !
    Vive le journalisme indépendant !
    Continuez
    Patricia et Jean-Marc

    14.03 à 22h27 - Répondre - Alerter
  • Il n’est pas sûr que nos politiques et économistes patentés aient la bonne analyse sur cette dette : il faut se poser sans à priori quelques questions hors de tout tabou
    - qu’est ce qui est nouveau dans le fonctionnement budgétaire et monétaire de l’état depuis que la dette a commencé d’ augmenter rapidement ?
    - le comportement de l’état était -il plus vertueux pendant les trente glorieuses période ou cette question ne se posait pas ?
    - que sait-on des relations de l’état et de la banque de France sur ces périodes ?
    - quelle analyse fait-on des contraintes nouvelles apportées par le traité de Maastricht sur ces questions ?
    - at-on ou non évité le pire en disant non au projet de "constitution européenne" ?
    - que peut-on dire des relations de causalité entre la dette et la fin du "circuit du Trésor" que certains ont décrit comme un moyen pour l’état de financer une part du déficit budgétaire ?
    - est il normal de considérer l’état comme un agent économique à placer à l’égard de la dette au même plan que les entreprises et et les particuliers ?
    - ne doit-on pas redonner à l’état le pouvoir de réguler la monnaie qui était le sien avant que cette fonction ne soit reportée et finalement confisquée par le système bancaire privé, ce qui consiste en réalité à faire dépendre les investissements collectifs nécessaires à la croissance et à l’emploi, des demandes de financements émanant d’agents économiques eux mêmes largement endettés...

    26.03 à 23h41 - Répondre - Alerter
  • Le salaire de 7 millions de salariés jeté aux orties !
    On ne peut pas résoudre les problèmes sans les énoncés clairement.
    Seulement voilà nous sommes au pays de la langue de bois !
    Ceux qui sont au pouvoir sont coupables ils ne diront jamais la vérité qui les dérange.
    Le corporatisme et le sectarisme ont sacrifié la jeunesse française !
    Pour conserver ses avantages surannés et ne rien céder quoi qu’il en coûte !
    C’est Le salaire annuel de 7 millions de Français qui s’envole en fumée chaque année dans le remboursement de la dette contracté pendant les 25 années de mauvaise gestion de l’argent publique !
    C’est la totalité de l’impôt sur le revenu, c’est 20 000 fois le jackpot du LOTO, que les créanciers de la France exigent chaque année en remboursement de leurs créances !
    Les conséquences de cette gabegie sont :
    - Des dizaines de milliers de morts dans les hôpitaux, faute de personnel et d’équipements !
    - Des centaines de milliers d’illettrées fautes d’enseignants.
    - Des centaines de milliers d’innocents condamnés faute de juges !
    - Des centaines de milliers de gens agressés faute de policiers !
    - Des dizaines de milliers de chercheurs absents dans les laboratoires !

    Pour les jeunes c’est :
    Soit 7 années de plus à travailler pour atteindre la retraite !
    Soit 35% de pension en moins pour ceux qui l’atteindront !
    Soit 15% de cotisation en plus pour ceux qui travaillent !

    La jeunesse doit prendre le pouvoir.
    Elle doit écarter tous ceux qui de près ou de loin ont participés à cette gabegie !
    Qu’ils soient de gauche ou de droite, ils ne méritent plus la confiance du peuple !

    3.04 à 08h20 - Répondre - Alerter
  • La lecture de l’article et quelques reactions me font me poser deux questions, qui pourra m’y repondre (en citant des sources fiables) ?

    - A-t-on une idee assez precises des creanciers de l’etat, avec une repartition proportionnelle entre eux (en particulier se resument-ils aux acheteurs d’obligation d’etat ?)

    - Quelles sont les experiences passees de pays qui auraient effectivement efface la dette d’un coup de chiffon (quels pays, quand, avec quels resultats), et quelles seraient les consequences envisageables si un pays comme la France le faisait aujourd’hui ?

    30.04 à 13h08 - Répondre - Alerter
  • Bonjour

    J’aimerais bien connaitre le point de vue de la rédaction :

    i) sur les thèses d’AJ Holbecq et P. Derudder Voir ici et ici...

    ii) sur le rôle de la construction européenne en matière monétaire ?

    Voici, sans garantie, une interprétation personnelle : nos amis allemands ont consenti à la création de l’EURO, à condition que la monnaie unique soit entièrement conformes à leurs vues (elles mêmes largement déterminées par le terrible héritage des "brouettes de marks pour
    acheter du pain", il y a quelques 80 ans...)

    Au résultat, la privatisation de la création monétaire, (statut de la BCE et Pacte de stabilité), offre une rente de situation sur les investissements publics aux... opérateurs privés ! (Banques et fonds de pension). Nous avons une monnaie unique (peut être même inique ?), mais nous
    n’avons plus le droit de nous en servir !

    L’une des attributions de la puissance publique, la fonction régalienne de "battre monnaie", est en effet verrouillée par le Pacte de Stabilité (on a privé la politique économique du levier monétaire) : on commence timidement à dire que les dépenses de recherche, (qui sont un
    investissement...), devraient être neutralisées vis à vis des critères de Maastricht.

    Mais cette considération vaut pour presque tous les investissements ! Sur les 1000 milliards d’Euros, (#10 % du PIB), qu’il faudra dépenser en qq années pour "décarboniser" un peu nos productions (c à d limiter les rejets de CO2...), pourquoi faudra-t-il EN PLUS payer aux banques et fonds de pension 40 ou 50 milliards par an ? On a un problème a résoudre (le
    CC...) et, du coup, certains opérateurs privés vont s’enrichir encore plus !

    Or, les efforts qu’implique la réduction des émissions sont irréalisables tant qu’on ne réduit pas d’abord les inégalités (NS, NN, et... SS). En effet, comment demander des "sacrifices pour les générations futures" à des gens qui sont surtout préoccupés par leur fin de mois ? (quand ce
    n’est pas par leur prochain repas).

    Comment rompre une "malédiction européenne" qui est la suivante : lorsque nous avons le choix entre plusieurs solutions, pour être assurés de choisir la plus mauvaise... il suffit parfois de s’adresser à un comité d’experts européens ?

    8.05 à 11h33 - Répondre - Alerter
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