Aurélie Trouvé, co-présidente d’Attac et candidate malheureuse à la direction du FMI, revient sur sa démarche, prétexte à une critique de l’institution.
Ce n’est pas, à mon avis, avec une politique de droite au F.M.I. qu’on règlera humainement le problème de pays comme la Grèce, surtout aujourd’hui où le peuple manifeste son désarroi et son "ras le bol" des privations ; quelqu’un comme Mme TROUVé aurait été, à mon sens, beaucoup plus judicieux et d’une nature plus "tempérante".
Martine
« Les plans du FMI entraînent une régression économique »