publicité
haut
Accueil du site > Actu > L’objet > Le bilan carbone... d’un vol à bord d’une navette spatiale
L’objet

Le bilan carbone... d’un vol à bord d’une navette spatiale

<-  Retour à l'article

Pour émettre encore plus qu’en train, en voiture ou même en avion, une seule solution : grimper à bord de la navette spatiale de la Nasa.

5 commentaires
TOUS LES COMMENTAIRES
COMMENTAIRES SÉLECTIONNÉS
RÉPONSES DE LA RÉDACTION
Trier par : Plus récents | Plus anciens
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions
  • je suis vraiment surpris que terra eco publie un tel article, non pas pour le sujet, mais pour le contenu. En effet, cet article est plein d’incertitudes et d’ommissions, présentées par l’auteur comme négligeables, mais qui dans les faits ne le sont pas.
    les ommissions sont, de l’auteur lui même : "Pour être vraiment rigoureux, il aurait fallu intégrer dans le calcul une bonne part du bilan carbone imputable à la Nasa elle-même."..."...je n’ai introduit aucun facteur de pondération pour prendre en compte l’altitude à laquelle les émissions ont lieu..." et d’autres repérables en lisant l’article.
    quel manque de rigueur ! imaginons un instant de faire le bilan carbonne d’un convoi ferroviaire, et ne retenir que les émisions corbonne produites par ce train : s’il est électrique, il n’y aurait aucune émission de carbonne, ce qui est totalement faux. Si l’auteur a pris en compte le carbonne généré par la production d’hydrogène et la fabrication du carburant solide des propulseurs additionnels, il n’est pas possible de négliger les émissions carbonne des installations (et tout ce qui gravite autour) ayant permis à cette navette de sortir de l’attraction terrestre.. ce qui alourdira très sensiblement un bilan déjà certainement pas très léger d’un point de vue ratio Kg co2 par passager, et quelle référence prendre pour porter un jugement sur un tel bilan carbonne. Je n’ai pas retenu à la lecture de l’article, que l’auteur porte un jugement sur ce bilan carbonne, mais tout lecteur se fera inconsciamment un jugement.

    Concernant la prise en compte de l’altitude, le carburant servant à propulser la navette hors atmosphère a bien été produit sur terre, et les émissions carbonne ont bien été rejetées dans l’atmosphère, le paramètre altitude intervient donc très peu sur ce point, mais peut être un facteur aggravant concernant les réactions chimiques qui se passent au milieu des gaz présents en haute altitude...

    Et enfin, quelle est la finalité d’un bilan carbonne pour une machine à l’état de prototype (même s’il y en a eu plusieurs de construites), qui ne sera jamais construite en vue d’une production de masse...
    enfin, l’auteur parle de tourisme spatial : ce dernier n’est pas opérationnel actuellement, et les projets sérieux de ce type sont basés, à ma connaissance, sur le principe d’un avion mère emportant une fusée qui serait lachée à haute altitude, donc bien différent de la navette, et qu’il conviendra de lui faire prendre part à l’effort global de réduction des émissions de co2.
    Je retiens de cet article un esprit "discussion de comptoir" très approximatif, n’apportant rien d’exact ni de constructif, car l’auteur n’a pas pris la peine de se renseigner sur des paramètres facilement quantifiables.

    3.02 à 10h42 - Répondre - Alerter
  • Anonyme : Bof

    je serais surpris que l’efficacité énergétique soit la priorité de la Nasa

    Drôle de supposition. De l’efficacité énergétique dépend la masse du carburant emportée, paramètre critique quand on veut se soustraire à l’attraction terrestre.

    6.02 à 01h53 - Répondre - Alerter
  • Anonyme : équivalences

    Nous apprenons donc qu’un vol de navette spatiale = 3 milliards de feuilles de papier toilette recyclé.
    Ca fait combien en prouts de vache ?
    Et en baleines ?

    Faire des comparaisons c’est bien, mais des fois les unités n’ont vraiment aucun sens...

    18.02 à 11h40 - Répondre - Alerter
  • complètement stupide. _La navette brûlait de l’hydrogène et de l’oxygène liquide. Si vous n’aviez pas dormi pendant les cours de chimie, vous sauriez que l’oxydation de l’hydrogène donne... de la vapeur d’eau et de l’oxygène !!
    Coluche disait "Quand on en sait pas plus que ça, on devrait être autorisé à fermer sa gueule"
    Je ne saurais trop vous conseiller d’appliquer cette maxime...
    Vos estimations, vous pouvez vous les mettre là ou la bienséance m’interdit de vous le suggèrer ...

    27.05 à 19h02 - Répondre - Alerter
PUBLIER UN COMMENTAIRE

Un message, un commentaire ?

  • Se connecter
  • Créer un compte

publicité
1
    Terra eco
    Terra eco
publicité
2
publicité
3
SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0
publicité
bas