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Culture

Mais que vais-je faire de ma vie ?

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Surdiplômés et sous-employés, certains jeunes ne manquent pas de courage, mais la tristesse du monde de l’entreprise les décourage parfois. Le livre Un métier pour la planète... et surtout pour moi ! leur est adressé.

6 commentaires
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  • ah ben nan !! ça c’est pas bien de casser ce joli article par une phrase de conclusion négative.... si on ne croit pas qu’on peut changer les choses en se mobilisant c’est la fin du monde, enfin, du monde démocratique !!! Je suis de ces diplomés bac+5 qui galèrent... alors pensez à nous !!!

    17.10 à 14h21 - Répondre - Alerter
  • Entrer dans une entreprise comme on rentre en religion, cela se pratique encore aujourd’hui mais dans d’autres hémisphéres de notre planète. Pourquoi ne pas faire des études longues même si au bout nous sommes confrontés aux mêmes problèmes que des personnes sans aucun diplôme... ? Après tout quitte à être désespérer autant l’être avec un peu de culture, un peu de connaissance sur le monde qui nous entoure et sur lequel malheureusement nous ne possédons aucun contrôle. Je suis de ses diplômés qui travaillent ou peu ou qui acceptent un de ses emplois précaires, sous qualifiés, mais qui permet néanmoins de mettre un peu de "faste" dans la nourriture dont nous devons nous substanter vaille que vaille...
    Je vous salue bien bas

    26.05 à 00h11 - Répondre - Alerter
    • Quelle élocution et quelle prestance dans ta façon de désigner les sans diplômes ! Je crois comprendre une des raisons pour lesquelles tu ne trouve pas de travail actuellement. Considérer les gens qui n’ont pas suivi d’étude comme des gens sans culture, ni connaissance, voir pas d’intelligence, ce n’est pas très avenant comme manière de voir tes semblabes. En tant que chef d’entreprise, je ne me réjouirai guère d’avoir des employés tel que toi qui dédègnerai les autres de cette façon. Par ailleurs je te ferai juste remarquer que si nous n’avions pas les sans diplômes comme tu les nommes, tu nagerais dans ta merde nuit et jour étant donné qu’on leur donne parfois le nom d’agent d’entretien, ouvrier, employé de service. Et oui, service que tu dénigre mais que tu te trouve obligé d’assurer pour subsister. Alors je serai toi je remercierai le sans diplôme qui se trouve à la rue actuellement pour te laisser sa place car entend le bien toi tu n’es pas à la tienne. Ni dans ton entreprise, ni sur cette terre vu le manque d’humilité, voir d’humanité dont tu fait preuve. Pour finir mon cher, je vous salue bien bas de la part d’un sans diplôme qui a su se forger un minimum de culture, de connaissance et surtout de vocabulaire afin que nous puissions nous comprendre. A bon entendeur...

      15.08 à 12h47 - Répondre - Alerter
      • tres bonne parole bravo

        22.11 à 00h20 - Répondre - Alerter
        • A toujours la question de trouver sa place ! ou plutôt comment la mettre en place si cette place n’est pas encore en place... J’ai de mon côté une tête bouillonnante d’idées, j’ai fait des études mais pas les bonnes et je n’ai donc jamais le diplôme adéquate... En attendant, je travaille dans la grande distribution (tout ce que je déteste) comme vendeuse... alors oui la question que vais-je faire de ma vie est la question qui me turlupine tous les jours que dieu fait (d’ailleurs si ce dernier pouvait me donner un coup de pouce pour trouver plus vite ça serait vraiment bien urbain (et oui il y a de moins en moins de campagne... ah ! ah ! ah !) de sa part. Trêve de plaisanteries... Bon courage à tous ceux qui comme moi se creusent tous les jours le ciboulot (tiens il y boulot dans ciboulot, un signe peut-être ?) pour trouver sa place dans ce monde où il y a de moins en moins de place pour s’asseoir et souffler un peu face au mystère de la vie...

          25.01 à 11h49 - Répondre - Alerter
      • Oui et je dirais quel c... quand je lis ton message. On sent bien là, quelqu’un qui dénigre ceux qui ont eu la chance de faire des études. Pourquoi rajouter "intelligence" a la suite de la personne précédente. Il est vraiment facile d’en rajouter et de critiquer ça ensuite. Oui, beaucoup de jeunes diplomés sont perdus, et voir une telle attitude de la part de quelqu’un qui met en avant le fait qu’il soit chef d’entreprise ne fait que conforter mon idée qu’il n’y a aucune corrélation entre intelligence et position sociale, quant à penser à ce que peut cacher un simple titre... Ce qui me met hors de moi, c’est que ce type d’individu qui est capable de recruter un diplômé a bac+5 pour un smic, ou de faire tourner des stagiaires sur un poste pour éviter de recruter. Alors a qui la faute, le système scolaire ? surement, les entreprises qui n’hésitent pas à traiter les gens comme de la marchandise ? j’en suis sur aussi, Peut on reprocher aux étudiants d’avoir cru aux beaux discours et brochures et pour certains de s’être endettés durant plusieurs années pour des diplômes alors qu’on leur préfèrent piston, feeling et autres abérations ... a vous de voir

        26.05 à 15h59 - Répondre - Alerter
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