Même poussé par les alizés, un voilier brûle du gazole pour produire l’électricité indispensable à la vie à bord. L’hydrogénérateur met fin à cette absurdité marine.
Comme il est dit dans l’article, il n’y a rien de nouveau, juste un principe que l’on redécouvre : l’utilisation d’une hélice en hydrolienne. Je suis décus par un titre si raccoleur.
Il n’est pas exact de dire que Rapheël Dinelli a utilisé un bateau fonctionnant "uniquement au solaire et à l’éolienne" : il a aussi utilisé du carburant, mais moins que les autres grâce au recours au photovoltaïque et à l’éolien.
Un skipper invente la dynamo des mers