. La réglementation particulière imposé aux Haïtiens à l’entrée des départements d’outre-mer français.
Alors que la France se gargarise de grands principes et de « continuité territoriale », le visa d’entrée en France pour un Haïtien n’est valable ni en Guadeloupe ni en Martinique, ni en Guyane. Un second visa doit être accordé par le préfet de ces départements, qui agit dès lors comme pouvait agir le gouverneur d’une colonie au temps de l’esclavage. Ces mesures résultent de la hantise de la France esclavagiste de voir ses colonies contaminées par le virus de la liberté dont le germe s’était développé en Haïti.
8. La symbolique vexatoire.
La France a donné à l’aéroport de Cayenne en Guyane le nom de Rochambeau, le général qui tenta d’exterminer les Haïtiens en les gazant au souffre et en les livrant à des chiens dressés à dévorer les « nègres ».
9. La volonté constante d’empêcher Haïti de se développer.
La politique de la France à l’égard d’Haïti depuis 1802 est de s’en servir comme d’un épouvantail pour les Français d’outre mer qui songeraient à l’indépendance. De ce fait, la prétendue « coopération » n’a toujours été qu’un mélange de saupoudrages, de mesures factices, et d’actions de déstabilisation. On notera que les Français descendants d’esclaves sont systématiquement écartés depuis 1802 de toutes responsabilités liées à la politique française à l’égard d’Haïti.
Il n’avait rien à y faire, mais il fallait bien qu’il y fût. Que va-t-on bien pouvoir grapigner dans un pays aussi désolé ? Mais je pense que surtout une bonne campagne de pub. Au fait, combien a coûté son déplacement ?... C’est vrai que les Français doivent faire des efforts !
Affligeant !
bonsoirs
je suis correspondant du registre des citoyens du monde et je desire avoir l’adresse des grandes ONG du monde qui subventionne les petites associations africaines
mon mail : nkan75@yahoo.fr
Pour un développement durable d’Haïti