Depuis le 1er janvier, ce perturbateur endocrinien présumé est en théorie banni de tous nos contenants alimentaires. Sauf qu’en pratique c’est pour l’instant impossible. Comment faire dans les rayons ? On vous guide. Du moins, on essaye !
Alors c’est bien de viser sans BPA mais les autres bisphénols maintenant utilisés sans qu’on ai encore sorti l’étude scientifique prouvant leur pouvoir oestrogéno-mimétique circulent toujours...
Bonne nouvelle : une étude existe sur le bisphénol-S et lance des pistes pour étendre les résultats sur les autres bisphénols ! (http://www.thesparc.net/eprint_deta...)
La première mauvaise nouvelle, pour certains, c’est que l’étude est en anglais et donc peu susceptible d’être traduite rapidement.
La seconde mauvaise nouvelle c’est que nous allons donc continuer à être intoxiqués sans le savoir.
La deuxième bonne nouvelle, c’est que grâce au site TheSparc (l’étincelle, http://www.thesparc.net/), né après l’"affaire Séralini", on va continuer à être régulièrement informés des études qui émergent partout dans le monde et que leur contenu sera sauvegardé !
Vite, les anglophones, proposez vos services de traduction aux auteurs des études !
Et merci à tous.
@farfaline - oui je suis entièrement d’accord... C’est un peu le sujet à la mode en ce moment, gourdes sans bpa, brosses à dents, couverts... alors que ce n’est qu’une infime partie de tous les bisphénols que nous ingérons... Mais tant mieux, ces problématiques doivent toutes être mises en avant !
Faire ses courses sans bisphénol A : on a tenté l’expérience