En réponse à :
17 juillet 2014 18:32, par BikePower
En première approche, je vois plus de risques que d’avantages à ce type de "démission de l’intelligence". Pour la plupart des "grands" sujets sociétaux et environnementaux actuels on connait assez bien les mécanismes de cause à effet pour être capable de mettre en oeuvre des politiques correctrices, tout du moins partir dans la bonne direction. Oui mais pour ça il faut que les politiques... décident et c’est bien tout le problème expliqué dans ce (très bon) article : si on s’en remet aux machines et aux algo, que seule une poignée de brilliants matheux connaitra, on ira à la catastrophe de manière (...)