Depuis plus de vingt ans, un médecin se bat pour prouver le lien entre des morts suspectes et la toxicité de la laitue de mer en putréfaction sur les plages bretonnes. Etrangement, l’Etat et la justice font la sourde oreille.
Selon des scientifiques gouvernementaux et universitaires, un type d’algue verte pouvant être toxique pour les humains et les animaux prolifère dans les lacs et les étangs des États-Unis.
L’algue, appelée Microcystis, peut produire une toxine hépatique qui peut provoquer des nausées et des vomissements. Les animaux domestiques qui boivent de l’eau contenant la toxine peuvent mourir.
Merci pour cet article très intéressant ! Oui, les algues peuvent s’avérer utiles parfois, mais dans le cas où elles deviennent toxiques, il y a de quoi s’inquiéter.
Chantal Dodier
Toutes les études sur le H2S en milieu ouvert existent, elles émanent du milieu pétrolier.
Ce risque est le premier risque sur les champs pétrolifère à l’offshore, tous les travailleurs le connaissent et portent des détecteurs+ masque de fuite : quand ça sent l’oeuf pourri, c’est qu’il y a du H2S en faible quantité, si le taux de H2S s’éléve, il n’y a plus d’odeur mais c’est la mort en quelques secondes.
La seule façon de faire bouger les acteurs responsables s’est d’inciter la base (nous) à fortement réduire notre consommation de produits laitiers et de viande.
Beaucoup moins de consommation = moins de vente = moins de production = moins d’épandage et d’émission d’azote.
Oui mais aussi arrêter de consommer TOUS les produits provenant de l’agriculture et de l’élevage intensifs. Laissons tous leurs produits délétères dans les rayons des magasins et il faudra bien qu’ils de décident à amender leurs pratiques !!!
Algues vertes : le crime était presque parfait