Diplomatie et conviction : ce sont les maîtres mots du ministre de l’Agriculture, fervent défenseur d’un nouveau système agricole, plus à l’écoute de la nature. Il détaille sa stratégie pour faire avancer cette vision, en France comme en Europe.
Si vous connaissez des cas concrets de bonnes pratiques agro-ecologiques à valoriser, laissez un commentaire pour en parler, il faut diffuser ces expériences exemplaires.
Le livre de Vincent Tardieu "Vive l’agro révolution française" donne des exemples très intéressants et une vision très objective (pas d’encensement idéaliste, pas de parti pris, mais une enquete rigoureuse) de pratiques agro-écologiques très diverses, parfois peu connues, mais tirées du vécu (citations d’entretiens) et très instructives. Un livre très vivant, très documenté, que l’on peut lire par épisodes (450 pages, 22 € mais on en a pour son argent). Il faut lire aussi le livre "La bio entre business et projet de société" écrit sous la direction de Philippe BAQUE qui met en garde contre les dérives "du bio" et éveille notre vigilance à cet égard.
Quant aux cas concrets connus personnellement, étant engagé dans Terre de liens et des organisations bio, il me faudrait plusieurs pages pour en parler : alors engagez-vous, soutenez Terre de liens dans votre région (le mouvement est implanté dans toute la France, sauf la Corse) et vous les connaitrez de près...
"Au nom de la Terre" sur Pierre Rabhi et beaucoup d’autres docu pour vous prouver ce que vous voulez. 1/3 de la production alimentaire mondiale est jeté.
L’industrie agricole tue les paysans : qu’en pensez vous ?
Bonjour,
il s’agit d’un entretien avec Stéphane Le Foll réalisé au début de l’année 2013 par les journalistes Alexandra Bogaert et Olivier Aubrée.
Cordialement,
François Meurisse, de Terra eco
Ce ministre est devenu depuis l’antithèse d’un écologiste... Plutôt l’ennemi de l’écologie. Copain avec Xavier BEUUUUULIN. Bref, quelqu’un qui a "retourné sa veste" sans doute pour de l’argent (fourni par les lobbys...).
Une honte cet homme !
Pour avoir travaillé et encore travailler sur un projet dédié aux circuits courts, et avoir dans le passé bossé 17 ans pour le milieu agricole, sur les très nombreux projets de diversification concernés, on constate que circuit court et agroécologie sont intimement liés.
Les labels ne sont pas forcément recherchés par les agriculteurs, mais leur volonté est de proposer, par la vente directe ou par la transformation en interne de leur production grâce à la mise en place d’ateliers techniques (transformation de la viande, des fruits, des légumes, des céréales, etc.), des produits de qualité, directement utilisables par les consommateurs.
Plusieurs avantages à cela :
un meilleur rendement économique (on produit moins mais on vend mieux !)
une moindre dépendance avec le "système" agricole actuel, puisque la vente se fait directement au client final (ou par le biais d’un nombre très réduit d’intermédiaires)
une hausse réelle de la qualité des produits (ce qui, en matière d’alimentation, est quand même un critère majeur !)
Pour en savoir plus : http://monlabofermier.fr ; on y présente toutes les solutions de diversification, qui alliées aux meilleures pratiques en matière d’agroécologie, permettent d’obtenir une rentabilité meilleur pour nos producteurs, et un bien meilleur rapport qualité/prix pour les clients finaux, que sont les consommateurs.
Il nous faut apprendre à écouter la nature, nous devons absolument la respecter et la préserver, l’agriculture bio est très importante pour la santé
Guide cuisine
Stéphane Le Foll : « J’ai choisi une autre voie, l’agroécologie »