En réponse à :
25 juin 2012 20:06, par Emmanuel Dudret
Votre commentaire initial ayant entraîné ma réponse vous situe quant à vous de l’autre côté de l’échiquier du dogmatisme, dirait-on, celui des scientistes à œillères concentrés sur leur fuite en avant et qui balaient tous les constats du dédaigneux revers de main de leur suffisance.
Des parades convenables, dites-vous ? Certes, mais jusqu’à un certain point et dans une mesure bien étriquée au regard du nombre massif des "progrès" qui nous valent notre "prospérité" actuelle et celle de la biosphère, et celle mirifique à venir de stress hydrique, d’anoxie des sols arables, de réversion des puits de carbone, de (...)