En réponse à :
3 août 2012 11:01, par greenwashing Ich grünelte
Les agriculteurs de Notre-Dame des Landes devront-t-ils, eux, s’affranchir de la terre nourricière pour reverdir les pelouses nantaises touristiquement vergerisées et où au moins un chêne de taille respectable nouvellement planté dépérit irrémédiablement ?
PS : j’ai pu assister cet été à la tentative de braderie des prix des terres agricoles Par Vinci au TGI de Nantes