En réponse à :
10 avril 2012 22:38, par polym
Article intéressant, même si c’est bizarre de mettre dans le même sac la solution des universitaires de Berkeley, qui est la moins irréalisable, coûteuse et impactante sur l’environnement.
Même si elle est difficile à effectuer à 100%, la mettre en oeuvre est loin d’être inintéressant, surtout qu’elle a un impact global (si généralisé) et local :
améliorer le confort (d’été) en climat chaud, avec des habitations pas isolées
en milieu tempéré, comme les toitures végétalisées, réduire localement l’effet d’îlot de chaleur urbain : les +2-3°C constatés dans les villes, avec une température qui ne baisse que peu (...)