Avec ses 10 000 fermiers, la coopérative Fonterra fixe le cours de l’or blanc dans le monde. Et ses producteurs actionnaires applaudissent. Mais son modèle de développement fait bouillir ses opposants.
Merci pour ce superbe article, comme toujours. Ce billet me rappelle celui que vous aviez rédigé sur les saumons de Norvège et les effets pervers liés à l’agriculture intensive. Du coup, on épuise les sols et on détruit la biodiversité de manière général pour d’ailleurs ne pas forcement produire de la qualité. Malheureusement, seule la quantité règne au détriment de tous.
La Nouvelle-Zélande fait son beurre avec le lait