Piratage musical : le coupable idéal (suite)

Excellent article.

Les grands éditeurs de logiciels (BSA) qui ne rêvent que de vendre des utilitaires de gestion de droits numériques (DRM) s’inquiètent de la copie privé aussi de la copie privée.

Leur rapport, même si l’on en partage ni les conclusions, ni les intentions est très bien fait.

Voir en ligne : Rapport du BSA sur la copie privée en Europe

17.02 à 21h51 - Répondre - Alerter

Les majors du disque sont completement depassees par la technologie liee au net : cela faisait des annees que ces parasites se gavaient sur les ventes de CDs (constemment en hausse) et de singles (comment peut-on encore esperer vendre 1 chanson et deux pauvre remixes pour 7-8 euros !).

A propos de la baisse de leur CA, ils oublient de prendre en compte pas mal d’elements :

- que leur clients sont plutot jeunes, donc pas forcement fortunes et que le marche des CDs est largement concurrence par celui du GSM et des services associes (textos, MMS ...).

- que la vente de DVD a litteralement explose (notemment les DVD Live - tres chers en general) et la aussi les econnomies des jeunes clients sont loin d’etre expensibles a l’infini.

- que les majors sont beaucoup trop gourmandes (un artiste touche a peine 7 a 10% du prix du CD)

- que les majors "poussent" les artistes a leur devenir dependants : imposer le choix des producteurs (appartenants a ces majors), faire des clips et des albums hors de prix (realises par personnes tres proches de ces majors), conditions necessaires pour etre diffuse sur les radio et chaines de tele tres liee a ces majors ... et j’en passe ... l’artiste devient une vache a lait, le consomnmateur devient un acheteur compulsif lobotomise par la pub ...

- que pendant des annees, on a consideres qu’il etait normal d’acheter un CD sans pouvoir l’ecouter (ne me parlez pas de bornes musicales au son pourris ou deffectueuses, aux extraits musicaux choisis) . Maintenant que le Net permet ce genre de chose, on se rend compte qu’un album qu’on aurait volontier achete, passe les 2-3 1ers titres, devient franchement ininteressant, et donc on ne l’achete pas.

- que sur les sois-disant "millions de titres pirates sur les sites P2P", la plupart se redondants (combien de millions de fois les singles de Britney Spears sont-ils dupliques ??), mal encodes ... et surtout c’est pas parcequ’on a telecharge un album qu’il vaut la peine d’etre achete, on l’a souvent telecharge pour l’ecouter 2/3 fois et s’en lasser.

- que les systemes P2P sont les seuls a pouvoir nous permettre de connaitre d’autres artistes que ceux formates, eleves, domptes par les majors.

Le Net, c’est enfin la possibilite pour des millions d’artistes de pouvoir faire connaitre leur travail sans etre exploites par des parasites.

18.02 à 12h29 - Répondre - Alerter

Cet article sur le piratage musical est très intéréssant. Il souléve une problèmatique qui place l’individu, téléchargant de la musique gratuitement, au rang de criminel.
Pour ma part, ce n’est pas une chose que je pratique. je ne la cautionne pas et je la condamne même quand cela est fait pour organiser un commerce parallèle de CD, DVD,... Mais je ne jéterais pas la pierre aux inconditionnels du téléchargement qui n’ont plus acheté de CD depuis des années.
Il faut jeter la pierre aux maisons de disques qui essayent de nous vendre des pseudos artistes style star ac,... et qui se font des énormes bénéfices sur le dos des consommateurs. Ils ont l’obligation de réagir très vite, les CD entre 15 et 30 euros ce n’est plus possible. Si cela continu, le piratage va croitre de plus en plus, les maisons de disque vont perdre beaucoup et elle ne gagnerons pas car les moyens de pirater vont toujours s’adapter. L’état doit aussi prendre la part qui lui revient mais à une TVA de 5,5%.
La culture n’a pas de prix, elle doit etre la moins cher possible et accessible à tous.
Derniere chose, je dirais "merci" au systéme de protection qui est apparu sur les CD, je ne peux plus les lire sur mon ordinateur (imac). Voila un scandale, où j’achete un CD et je n’est pas la possibilité de l’écouté comme je le souhaite. Il y a de quoi etre dégouté et de vouloir faire payer les maisons de disques.

1er.03 à 01h27 - Répondre - Alerter

L’alternative à iTunes, MSN Music et autre...

Bonjour,

Je voudrais vous faire connaître une alternative très intéressante : eMusic.com
Ce site propose un catalogue de 500 000 titres de labels indépendants dans tous les genres. Les titres sont totalement libres de DRM : aucune restriction sur le téléchargements des titres achetés, sur leur transfert vers d’autres ordinateurs et appareils, etc...
Le système se base sur un abonnement mensuel :
$10 pour 45 titres
$15 pour 65 titres
$20 pour 95 titres
Vous pouvez également compléter votre abonnement par des power packs.

Le site est superbe...

François

Voir en ligne : http://www.emusic.com

8.04 à 09h19 - Répondre - Alerter

bonsoir, sur un sujet particulièrement complexe, je trouve cet article un peu court, dans les deux sens du terme ! il ne fait qu’effleurer le débat sans rien apporter de nouveau, et surtout ne propose rien, n’avance aucune piste ! Que la politique du tout répressif contre les téléchargeurs soit limitée et innefficace, soit, on le sait déja, mais faut il pour autant tomber dans l’utopie libertaire du "tout gratuit" et de l’argument usé des méchantes-maisons-de-disque-qui-étouffaient-la-creativité-c’est-bien-fait-pour-elles ? entre les deux, il y a quoi ? j’esperais trouver dans cet article quelques pistes ! mais je n’y ai rien trouvé !

27.09 à 00h08 - Répondre - Alerter

Bonjour,

Heureusement que le piratage s’est peu à peu éteint avec le temps. Pour ma part, je regrette l’époque où l’on devait forcément acheter des disques vinyles pour écouter sa musique préférée.
Il est loin le temps des jukebox dans nos cafés ici ou là et autres platines vinyles pour écouter du bon vieux blues ou du jazz be bop. Aujourd’hui la jeunesse se détruit littéralement les oreilles avec du rap et de la musique latino...

5.11 à 18h07 - Répondre - Alerter