En réponse à :
19 janvier 2006, par Gilles Gauret,
Roxane Arleo
Davantage de vieux, davantage de sous ! Atypique, le secteur du funéraire cultive la différence... comme tous les bons vivants.
Pour réussir dans le funéraire, il y aurait, dit-on, trois règles d’or : l’emplacement, l’emplacement et l’emplacement. Exemple à la sortie de la mairie du XVe arrondissement à Paris. Quasi sur le perron s’offrent au choix du chaland endeuillé pas moins de quatre sociétés de pompes funèbres. Car c’est à la mairie que s’effectue la première démarche après la mort d’un proche, la (...)