Il y a vingt ans, le discours de Severn Suzuki au sommet de la Terre de Rio avait bouleversé les participants. Elle avait alors 12 ans. Vingt ans plus tard, elle s’apprête à rappeler les chefs d’Etat à leurs responsabilités.
Il me semble plus porteur en effet de compter sur ce personnage-clé que sur nos dirigeants qui, pour certains (Obama, Merkel...) n’ont même pas pris la peine de se déplacer.
Il est en effet totalement illusoire de penser que les dirigeants des pays industrialisés puissent montrer l’exemple et entraîner leurs peuples. Ce sera l’inverse ou rien. Seule l’émergence d’une masse critique de convictions, de volontés et d’actes individuels pourra changer les choses... ou alors le chaos mais ce serait déjà bien (trop) tard.
Severn, porte-voix de l’urgence… et de l’espoir