En réponse à :
9 juin 2011 00:01, par philippe crassous
Si je peux me permettre d’apporter le point de vue de l’agronome que j’ai été dans ma jeunesse, je dirais qu’il n’est pas du tout évident de détecter quelle quantité d’eau est cachée dans nos aliments. cela dépend du produit bien sûr, mais surtout des pratiques culturales. Par exemple, comme vous venez de le faire remarquer à Terra Eco, même l’olive qui est une des cultures les plus adaptées à la sècheresse peut avoir été arrosée et ainsi être gorgée d’une eau d’autant plus précieuse qu’elle a été prélevée dans une région aride. Quelques indices néanmoins : Ce qui provient d’un arbre en général n’a pas besoin (...)