Etats pétroliers, pays producteurs de charbon, industriels : tous font comme si le changement climatique n’était pas déjà en marche. Pourtant, il faut réagir vite.
Al Gore utilise les prévisions cataclysmiques du GIEC pour faire un très lucratif business vert (comme le dieu Dollar). Il n’hésite pas à sortir des mensonges éhontés, comme, par exemple, la montée de 6 m des océans au cours de ce siècle, alors que le GIEC ne la prévoit que de 30 cm à 60 cm environ. Ce faisant, il décrédibilise totalement le carbocentrisme, qui n’en a pas besoin...
Bonjour,
Je m’étonne que mes deux commentaires n’aient pas encore été publiés. Peut-être faites- vous une pause week-end ? J’attends donc lundi matin pour être fixé.
Cordialement
Le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) est par nature lié au politique, ce qui, dans le domaine scientifique, n’est pas acceptable, car le temps du politique et le temps de scientifique ne sont pas comparables et, en ce qui concerne le climat, nos connaissances ne sont pas en mesure de répondre aux demandes fermes du politique. Le mode de fonctionnement du GIEC a amené de graves dérives stigmatisées par le sévère rapport de l’IAC.
Par ailleurs, les données d’observation réfutent les modèles numériques du GIEC : stabilisation de la température globale depuis 11 ans, léger refroidissement des océans (mesures des 3300 sondes ARGO), montée de océans de moins de 1 mm/an et absence de point chaud en zone tropicale. En outre, de nombreuses publications mettent à mal les hypothèses de base du GIEC (forçage radiatif, rôle pivot du CO2, rétroactions positives).
Donc, soit on fait confiance, aveuglément, aux modèles, et alors aucune critique n’est pas acceptée et les données d’observation sont réfutées ou, au mieux, minimisées, soit on fait confiance aux données d’observation et alors il faut revoir les modèles. Je pense que la seconde proposition est la plus raisonnable.
Climat : quand la politique devient sceptique