Plus réputée pour sa pollution que pour sa verdure, la cité des anges se hisse pourtant aujourd’hui à la première place du classement des villes qui recensent le plus grand nombre d’immeubles verts selon l’EPA, l’agence américaine pour la protection de l’environnement. Avec 293 immeubles (commerciaux ou municipaux) labellisés « energy star », label garantissant l’efficacité énergétique des bâtiments, Los Angeles est à la première place du podium suivi par Washington DC (avec 204 immeubles verts), San Francisco (173), Denver (136) et Chicago (134).
Grâce à ses immeubles verts, Los Angeles a pu économiser 93,9 millions de dollars en 2009, selon l’EPA. N’allons cependant pas conclure que le berceau d’Hollywood est la ville la plus verte des États-Unis. Selon le rapport annuel de l’American Lung Association (association américaine de pneumologie), Los Angeles continue d’être très mal notée dès qu’il s’agit d’analyser la qualité de l’air. La région de Los Angeles obtient ainsi un F, la plus mauvaise note possible.
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