Il s’agit du niveau du baril de pétrole le plus haut depuis octobre 2008, annonce le Financial Times. Cette augmentation intervient après une stagnation de plusieurs mois entre 70 et 80 dollars, un bon compromis entre producteurs et consommateurs. En cause ? Les inquiétudes sur l’économie grecque. Des estimations des banques de Wall Street prévoient une augmentation encore plus forte, 110 dollars l’an prochain d’après Goldman Sachs.
Plus les prix montent, plus les risques de déstabilisation de la reprise économique mondiale se confirment. Le prix du pétrole pourrait soutenir l’inflation et forcer les banques centrales à monter leurs taux d’intérêts, selon le quotidien financier. Cette augmentation coïncide en tout cas avec la reprise de la demande en pétrole après le premier déclin mondial en 25 ans, du à la crise.
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