Le chantier du réacteur nucléaire EPR de Flamanville aura au bas mot deux ans de retard : c’est ce qu’affirme Le Figaro dans ses colonnes. En cause principalement, la mauvaise formation des ingénieurs plus habitués à ce type de projets et le conflit entre EDF et Areva qui se disputent le leadership de l’EPR en France. Enfin, les demandes de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) concernant la sécurité mettront beaucoup plus de temps que prévu à être honorées. EDF a déclaré au Figaro qu’elle maintenait malgré tout ses échéanciers à 2012 ou 2013.
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