Sous les pavés, la biodiversité

On pourrait croire qu’une ville se limite à du bitume et à quelques espaces verts bien entretenus, et que la nature sauvage n’y a pas sa place... Ce mois-ci, le magazine Autrement, s’emploie à nous prouver le contraire, avec l’exemple de Nantes qui compte quelques 37 m2 d’espaces verts par habitant (soit dix fois plus qu’une ville comme Paris, Lyon ou Marseille).

Au sommaire :
 Rencontre, aux portes de la ville, avec un couple de faucons pèlerins qui a élu domicile sur le pont de Cheviré qui franchit la Loire A suivre aussi sur : [http://fauconpelerin.canalblog.com/]
 Zoom sur les rivières de la ville, qui constituent des trames vertes pour les espèces animales. Des cours d’eau préservés, dont les rives n’ont pas été aménagées, permettent en effet à la faune de circuler d’un site naturel à un autre au sein de l’agglomération.
 Comment la nature reprend peu à peu ses droits en ville. Reportages sur l’arrêt des pesticides sur une centaine de parcelles tests à Nantes, et sur les expérimentations menées à la Chapelle-sur-Erdre, ville pilote en Loire-Atlantique en matière de biodiversité.

Et, comme chaque mois, la chronique de David Solon, directeur de la rédaction de Terra eco, ainsi qu’un épisode des apprentis Z’écolos consacré cette fois au golf, un loisir gourmand en eau, en engrais et en pesticides...

AUTREMENT - Biodiversité : à la ville comme à la campagne ?
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