A Dubai, on ne sait plus quoi inventer pour attirer les riches. Sur ce petit bout de territoire où s’élève le seul hôtel sept étoiles du monde, la compétition est rude. Et tout le monde veut sa part du gâteau. Versace a peut-être trouvé la combine. Dans son nouveau palace qui doit ouvrir ses portes fin 2009 ou début 2010, les clients pourront se promener sur une plage réfrigérée, sans risquer de se brûler les petons. Sous la plage, un circuit de tuyaux sera en effet chargé d’absorber la chaleur du sable.
Plus loin, les riches pensionnaires pourront faire des longueurs dans une piscine à température adaptée et profiter d’un petit vent frais émis par de grands ventilateurs. Un confort de taille dans un pays où les températures s’élèvent en moyenne à 40°c l’été. Mais voilà, le concept risque de ne pas ravir les défenseurs de l’environnement. Car le luxe de Dubai coûte cher à la planète. Chaque habitant du petit émirat affiche une empreinte carbone de 44 tonnes de CO2 par an, soit plus de 16 fois la moyenne mondiale (2,7 hectares par habitant).
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