23 décembre. Nos cadeaux sont-ils programmés pour mourir ? Nicolas Buclet, directeur du CREIDD [1] explique que "la main d’œuvre coûte peu cher dans certains pays du monde. Au point que ça ne vaut pas la peine de produire des objets réparables". Par exemple, "à partir de 1995, il n’a plus été possible d’ouvrir un magnétoscope pour le réparer. En outre, de nouvelles gammes sortent sans cesse, qui rendent obsolète les objets qui marchent encore".
L’innovation technique comme soutien à la société de consommation ? Voilà une conception qui ne risque pas de favoriser la transition vers une logique plus économe.
Crédit photo : © Greenpeace
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