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6-02-2008

Le covoiturage entre à la fac

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Le covoiturage entre à la fac
 
Lancement de T.écovoiturage, premier service de ce type dédié aux étudiants d'Ile-de-France, accessible sur le Web et sur téléphone portable.
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Les étudiants parisiens ne se baladeront plus tout seul en voiture. C’est en tous cas ce qu’espèrent les concepteurs de T.écovoiturage, nouveau service de covoiturage accessible sur le Net, mais aussi sur téléphone portable. Pour cela, Fondaterra, association spécialisée dans le développement durable des territoires, a réuni un opérateur de téléphonie mobile (SFR), un spécialiste de covoiturage (Green Cove Ingénierie) et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe). Le premier s’est occupé de la technologie du téléphone portable, le second de la plate-forme Internet, et le dernier de la partie financière.

"Le fonctionnement est assez classique, certifie Fleur Povillon, chargée de projet à Fondaterra. Vous vous inscrivez. Vous enregistrez votre trajet habituel domicile-université, ou même un trajet ponctuel le week-end par exemple. Et la base permet de faire se rencontrer demandeurs et offreurs", détaille-t-elle.

"C’est pas la Star’Ac"

Quand il n’est possible d’avoir accès à Internet, il suffit d’envoyer T.écovoiturage (langage texto) au 30130. Le SMS n’est pas surtaxé. "C’est pas la Star’Ac. Le but n’est pas de faire de l’argent mais de rendre le service le plus accessible possible", insiste Fleur Povillon. "Une fois le SMS envoyé, vous recevez un lien d’accès au site de covoiturage au prix d’une connexion Wap. L’avantage d’être client SFR, c’est que le service est directement disponible via Vodafone live."

Les 350000 étudiants des 17 campus universitaires et 11 grandes écoles franciliennes qui participent au projet sont des "covoitureurs" potentiels. Bien sûr, tous ne viennent pas à la fac en voiture, surtout dans l’agglomération parisienne. Mais dans les autres départements de la région, nombreux sont les campus à être plantés au milieu de nulle part. Alors, les étudiants semblent plutôt intéressés. Souvent pour cause de budget serré. Mais peu importent les motivations, le résultat est le même. Selon les calculs de Fondaterra, si 10% d’étudiants automobilistes utilisaient le service, 300000 tonnes équivalent CO2 pourraient être économisées par an.

Sources de cet article

Entretien avec Fleur Povillon, chargée de projet à Fondaterra

Photo : © Louise Allavoine

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