Détention d’armes, décharge illégale de déchets toxiques, trafic d’ivoire, braconnage, piraterie, pêche ou exploitation forestière illégale : voilà certains des chefs d’accusation qui pèsent sur neuf fugitifs traqués par Interpol. Pour la première fois, ils sont considérés comme criminels environnementaux. Et si « ce ne sont pas des braqueurs (…), leurs agissements peuvent avoir des conséquences directes sur la santé des populations », a expliqué au Figaro le chef du service de recherche des fugitifs, Stefano Carvelli.
-
Terra eco
-
Terra eco
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions