Ségolène està France Inter pour présenter son projet de loi. Elle est triomphante. Elle s’exprime avec une facilité et une aisance que le président n’a jamais eu. Quand Cohen fait allusion a l’article de la presse qui la traite de vice présidente sa joie atteint son paroxysme. Au delà de ses propos on sent la courbe de popularité du socialisme qui repart. Royal, Montebourg, la coupe du monde de football, c’est une conjecture qu’on n’a plus vécue depuis 2012.On pourrait l’apeller "Madame a énergie positive". Car comme les maisons qu’elle veut construire et qui dégageront plus d’énergie qu’elles n’en consommerons elle donne le sentiment de créer de l’énergie. Mais méfiance ! même si son département est en charge de la transition energétique l’écologie ne se résume pas à l’énergie. Derrière elle embusquée un autre ministe ,Le Foll , est en charge de ... l’agriculture. Jamais l’ecologie n’a été en France dans les mains d’un et d’in seul. Le développement durable va mordre sur l’agriculture avec des sujets tels que les ordures ménagères, la production des biofuels ; la méthanisation que la ferme des mille vaches a mis a la mode. Mais pas touche ! L’élevage c’est la bas bd St Germain. M.Le Foll veille sur lui comme il est responsable de la foret, de la filiere bois, et plus important de l’eau. C’est ainsi que les français croulent sous des ministères qui leur servent à rien. Si vous commencer à réfléchir à ce qui dépend de l’un et de l’autre des deux départements ministériels ci dessus cités vous ne pouvez aboutir qu’a une seule conclusion : la défense des intérêts corporatistes. En realité ce ne sont que des feuilles morte, des centaines de fonctionnaires, et deux budgets d’état non négligables qui ne servent à rien sinon à doubler le rôle opérationnel qu’on s’apprête à déléguer aux régions. Dans un etat tres ancien comme la France qui a deja vecu une ou deux vagues d’expansion du communisme, théorie selon laquelle on devrait voir un jour ou l’autre disparaître l’appareil d’état, il n’est plus besoin d’une révolution pour y parvenir. L’agriculture et le développement durable sont mûrs pour etre cassés en 12 et reparti régionalement dans chacune des régions en proportion des besoins.