Tôt ce matin, les militants de Greenpeace ont envahi la centrale nucléaire de Tricastin (Drôme). L’ONG demande à François Hollande de fermer le site, parmi les cinq plus dangereux de France. « Comme Fessenheim, la centrale du Tricastin est une de celles qui connaît le plus de risques de sûreté et d’agressions externes naturelles ou humaines. Elle a notamment une vingtaine de fissures sur la cuve du réacteur n°1 », estime, sur son site Internet, l’association écologiste, dont les militants ont atteint les réacteurs en une quinzaine de minutes. Douze d’entre eux ont été interpellés.
L’Autorité de sûreté nucléaire assure, dans un communiqué de presse, que « l’événement n’a pas eu d’impact sur la sûreté de l’installation ».
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