Vivre au jour le jour. Une expression prise au pied de la lettre à Bordeaux (Gironde) où démarre ces jours-ci le « TAPAJ ». Il ne s’agit pas d’un bruit mais un Travail alternatif payé à la journée.
L’initiative, lancée par un éducateur du Comité étude information drogue (CEID), et déjà expérimentée à l’été 2011 dans la capitale de l’Aquitaine, vise à réinsérer des jeunes en situation de très grande précarité. L’association leur propose un travail, principalement dans les espaces verts et effectué dans la journée, et dont le salaire est empoché le soir même. Entre 40 et 60 euros net la journée, de quoi permettre à ces jeunes en très grande précarité de ne pas faire la manche et de se réinsérer sans stress sur le marché du travail.
Lire le reportage sur Liberation.fr
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