L’arrivée des vélos en libre-service à New-York a mis en émoi une éditorialiste du Wall Street Journal. Dorothy Rabinowitz s’en prend violemment au projet dans un entretien filmé et diffusé le 31 mai.
Selon elle, avant même le débarquement des vélibs new-yorkais « chaque citoyen savait (...) que le plus grand danger de la ville ne sont pas les taxis. Ce sont les cyclistes. » Le projet serait donc selon elle l’œuvre d’un « gouvernement totalitaire », influencé par le « tout-puissant lobby pro-vélo ». Pire : « les plus beaux quartiers de la ville sont salis par ces vélos bleus fluos ». Des arguments étonnants et très vite moqués dans les commentaires (en anglais) à déguster au bas de cet article.
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