Cela fait bien longtemps que dans la mégalopole chinoise, les médias gardaient pour le moment la langue dans leur masque. Ils parlent désormais, rapporte Philippe Grangereau, correspondant de Libération à Pékin. Jusqu’ici, « la municipalité ne parlait que de “brume” et non de smog, tandis que l’Institut de météorologie censurait le taux de concentration de particules fines qu’il mesurait ». Mais cette fois-ci, il y a eu record, le taux de concentration des particules fines a dépassé les 600 microgrammes par mètre carré, soit 24 fois plus que la limite recommandée par l’OMS.
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