Retour d’expérience d’une jeune amapienne
« Je mange des fruits et légumes produits localement par des paysans que j’ai le privilège d’apprendre à connaître. Privilège, car leur connaissance, leur engagement, et l’horizon que dessinent ces gens sont remarquables. (…) Jonathan, notre maraîcher, schématise ainsi : l’agriculture conventionnelle nourrit la plante, quitte à appauvrir le sol, tandis que l’agroécologie s’attache à nourrir le sol, qui nourrit la plante. Il minimise les labours mécaniques et expérimente la permaculture. » Une famille toulousaine
Maison écolo, les grandes étapes
« Le premier piège de la vie à la campagne, c’est de croire que l’on sera plus écolo. Si on prend la voiture pour chaque action de la vie quotidienne, on a tout faux ! Heureusement, une boulangerie bio existe à côté du terrain et je pourrai toujours continuer à me faire livrer mon panier commandé sur Internet. » DSarchitecteMangeons bio, local, équitable
« J’ai de la chance, j’habite dans un quartier où il y a deux magasins bios (dont un ouvert le dimanche), un immense marché, et une épicerie équitable. (…) Au marché, je privilégie les petits producteurs, et notamment ceux qui ne traitent pas leurs produits. Je salue au passage les délicieux petits fromages de vache et de chèvre de mes marchands préférés, ainsi que leurs fraises et leurs framboises, qui sont un vrai régal ! » YszaVos nouveaux défis
La nouvelle année est arrivée, l’Apocalypse n’a donc pas eu lieu. Tant mieux, mais vous ne pouvez plus couper aux classiques bonnes résolutions.1/ Trouvez l’idée écolo qui vous convient le mieux, et adoptez-la.
2/ Pas de timidité, partagez votre expérience avec la communauté des lecteurs responsables. Créez votre blog, détaillez votre bonne résolution et racontez, photos à l’appui, l’histoire de votre transition.
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