Des vessies camouflées en lanternes. C’est grosso modo le tour de passe-passe de quelques poissonniers et restaurateurs à l’encontre de leur clientèle. L’ONG Oceana a scruté les étals et les cartes de 81 établissements new-yorkais. Résultats : 39% d’entre eux n’étaient pas correctement étiquetés, rapporte le New York Times. Dans certains cas, quelques poissons de belle qualité étaient en réalité et sans que cela soit mentionné, remplacés par de moins chers, dans d’autres des espèces en voie de disparition étaient camouflées sous une appellation différente. Dans 94% des cas, le thon blanc présenté n’en était pas mais de l’escolier noir, un poisson qui, s’il est trop consommé, peut entraîner des troubles gastro-intestinaux importants.
A lire dans le New York Times
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