Les militants de Greenpeace sous contrôle judiciaire

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Le juge des Libertés du tribunal de grande instance de Troyes a confirmé le 6 décembre la mise sous contrôle judiciaire des 9 activistes de Greenpeace qui se sont introduits à l’intérieur de la centrale de Nogent-sur-Seine (Aube). Selon l’association, les militants ont l’interdiction de se parler entre eux et de s’approcher d’une centrale nucléaire à moins d’un kilomètre. Mis en examen pour violation de domicile et dégradation en réunion, ils risquent chacun jusqu’à trois ans de prison ferme et 7 500 euros d’amende. L’audience aura lieu le 20 janvier 2012. L’ONG est toujours dans l’attente de la décision de justice concernant les deux activistes qui se sont introduits dans la centrale de Cruas (Ardèche) pendant plus de 14 heures d’affilée.

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Par
Marie Molinario

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diversite : Les militants de Greenpeace sous contrôle judiciaire, pour nous.

Je propose de relayer les actions de Greenpeace. Ces très actifs militants, risquent d’être discrédités, si nous n’expliquons pas plus simplement leurs motivations. Pendant qu’ils sont dans l’action, qu’ils frappent l’opinion, nous devons aller plus loin, sinon leur message sera brouillé par le scandale.
Je me demande si les services de sécurité n’ont pas anticipé cela pour les discréditer. NKM, à mots croisés à peine voilés, appelle à distinguer SÉCURITÉ et SURETÉ, elle veut "dédramatiser". Moi j’entends "tuer le message". Comme si une action terroriste ne pouvait fragiliser la sûreté d’une centrale, au moment ou un autre événement la fragiliserait. LE MESSAGE EST SIMPLE, LA SURETÉ ET LA SÉCURITÉ C’EST LA MÊME CHOSE, IL EST IMPOSSIBLE DE TOUT PRÉVOIR, ADMETTONS LE. Cela ne signifie qu’il faut vivre dans la peur éternelle, nulle part le risque zéro existe, même dans ma cuisine. C’est la gestion du risque qui me paraît essentielle, elle commence par l’éducation avec sincérité. Contribuez-y

6.12 à 17h55 - Répondre - Alerter

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